3DMF (3D Metafile) : format de fichier conçu par Apple pour l’échange de graphismes 3D sur Internet. 3DMF est un format multiplate-forme, fonctionnant sous Mac OS, Microsoft Windows et UNIX.

586 : processeur similaire au Pentium d’Intel, utilisé sur les ordinateurs PC fonctionnant sous MS-DOS et Windows. Certains modèles de cartes de compatibilité PC d’Apple sont dotés d’un processeur 586.

10Base-T : variante d’Ethernet permettant de connecter les ordinateurs en réseau au moyen de câbles à paires torsadées au lieu de câbles coaxiaux. Les câbles à paires torsadées sont conçues de façon à réduire les risques d’interférences avec le câblage voisin.

AAUI-15 Ethernet : type de réseau Ethernet agencé en étoile.

accélération matérielle : augmentation de la vitesse de transmission des données entre les éléments physiques d’un ordinateur, obtenue grâce à des composants parfois installés sur une carte d’extension.

Acrobat PDF : format de fichier conservant les informations de mise en forme et pouvant être affiché ou imprimé sur tout périphérique capable d’interpréter le langage PostScript.

ADB (Apple Desktop Bus) : interface permettant de connecter des périphériques d’entrée (clavier, souris, tablette graphique, etc.) sur les ordinateurs Apple.

antivol : dispositif permettant de fixer un ordinateur à un meuble au moyen d’un câble de sécurité.

appareil photo numérique : appareil qui enregistre les photographies sous forme numérique et non sur pellicule. Les images numérisées peuvent être transférées sur un ordinateur pour retouche, pour impression ou encore pour publication sur Internet. L’absence de pellicule rend les appareils photo numériques plus rapides et plus pratiques.

Apple Location Manager : partie du logiciel système qui facilite la configuration d’un ordinateur mobile en vue de son utilisation en différents endroits.

Apple Media Tool (AMT) : environnement de création visuelle à base d’objets permettant l’intégration de différents médias, tels que des séquences QuickTime et des fichiers PICT, texte ou audio. Apple Media Tool autorise la réalisation de projets multimédias interactifs, le travail collaboratif, le développement multiplate-forme et la production d’applications autonomes.

AppleShare : logiciel de réseau conçu par Apple pour l’interconnexion des ordinateurs en réseau local.

AppleShare IP : logiciel qui intègre les serveurs AppleShare à des réseaux intranet à protocole IP et offre un éventail complet de services Web, de courrier et FTP.

AppleTalk : protocole de réseau local conçu par Apple pour assurer la communication entre Mac OS et d’autres ordinateurs. Englobe LocalTalk et EtherTalk.

application : logiciel permettant à l’utilisateur d’effectuer une tâche spécifique ou de créer un type précis de document (à la différence du logiciel système, qui gère le fonctionnement de l’ordinateur). Le traitement de texte et le tableur sont des exemples d’application.

ARA (Apple Remote Access) : logiciel permettant à un ordinateur doté d’AppleShare de se connecter à distance sur un autre ordinateur ou un réseau AppleShare, par l’intermédiaire d’une ligne téléphonique classique ou RNIS. Grâce à ARA, vous pouvez, par exemple, relier l’ordinateur de votre domicile à l’ordinateur ou au serveur de réseau de votre bureau. ARA offre une fonction de rétro-appel assurant un niveau de sécurité maximal.

ARM (Advanced RISC Machine) : marque de microprocesseurs RISC 32 bits à faibles coûts et consommation électrique réduite, présents notam- ment au cœur des produits Newton.

ATAPI : interface servant à la connexion des lecteurs de CD-ROM.

AV (audio/vidéo) : un ordinateur AV est capable de restituer du son de qualité et d’afficher de la vidéo en temps réel. Dans certains cas, il peut être relié à des équipements vidéo tels qu’un magnétoscope, un lecteur de vidéodisque ou un téléviseur.

BinHex : format utilisé sous Mac OS pour le codage des fichiers binaires en texte seul (ne contenant que des lettres non accentuées, des chiffres et des signes de ponctuation). Le format BinHex autorise l’envoi de fichiers au travers de la plupart des messageries électroniques et leur stockage sur pratiquement tout système informatique. Un fichier ainsi codé est toutefois plus volumineux, donc plus long à transmettre.

bits par pixel : unité de mesure des capacités logicielles et matérielles d’un ordinateur pour l’affichage des couleurs. Les informations relatives à la couleur sont codées sur un certain nombre de bits. Plus ce nombre est élevé, plus il est possible d’afficher de nuances (plusieurs milliers à 16 bits par pixel, des millions à 24 bits par pixel ).

broche : contact électrique d’un circuit, d’un composant ou d’un connecteur.

buffer d’entrée : mémoire tampon servant à stocker des informations en attente de traitement. À titre d’exemple, un ordinateur peut envoyer à une imprimante des données plus vite que celle-ci n’est capable de les traiter. Dans ce cas, le buffer de l’imprimante stocke temporairement les informations, libérant ainsi l’ordinateur pour d’autres tâches.

bureau, ordinateur de : désigne un ordinateur dont le boîtier est plus large que haut, se pose sur un bureau et peut éventuellement servir de support à un moniteur. En anglais, Desktop. Cf minitour.
Le Bureau est par ailleurs le nom de l’interface du Finder sur les ordinateurs Mac OS.

bus : ensemble de fils conducteurs desservant les différents éléments fonctionnels d’un ordinateur. La largeur du bus (c’est-à-dire le nombre de fils parallèles dont il est constitué) et sa vitesse (le nombre de données qu’il est capable de transmettre par seconde) conditionnent les performances de l’ordinateur.

caisson de basses : haut-parleur spécialement conçu pour la restitution des sons très graves.

carte audio : composant permettant à un ordinateur d’enregistrer et de restituer du son.

Carte de compatibilité PC : carte permettant à un ordinateur Macintosh de faire fonctionner, en plus de Mac OS, les systèmes d’exploitation MS-DOS ou Windows, et donc les applications conçues pour ces derniers.

carte d’extension : équipement pouvant être installé sur un ordinateur afin d’en étendre les fonctionnalités. Par exemple, une carte de compatibilité PC permet de faire fonctionner des logiciels PC sur un ordinateur Macintosh. Une carte d’extension se compose de circuits intégrés (qui assurent les fonctions de la carte), de connecteurs (permettant à la carte de communiquer avec l’ordinateur) et, dans certains cas, d’une alimentation électrique propre.

carte fax: carte dotée d’un modem-fax qui, installée dans une imprimante LaserWriter, permet à cette dernière de recevoir des télécopies.

carte mère : circuit imprimé qui porte le processeur et les autres composants principaux d’un ordinateur.

CD-ROM (Compact Disc Read-Only Memory) : disque se présentant comme un CD audio et servant au stockage permanent d’un volume important d’informations (environ 600 Mo), par exemple des encyclopédies ou des applications multimédias. Les lecteurs de CD-ROM sont caractérisés par leur vitesse (4X, 8X, 12X, etc.).

CGI (Common Gateway Interface) : technologie standard permettant d’exécuter des programmes sur un serveur et ce, quel que soit l’ordinateur utilisé pour accéder au serveur.

chargeur à plat : dispositif de certaines imprimantes LaserWriter, permettant d’imprimer sur un support fragile sans le soumettre à une courbure.

circuit intégré (CI) : composant électronique constitué de millions de transistors microscopiques et d’autres éléments interconnectés, disposés sur une tranche de silicium. Le microprocesseur est un exemple de circuit intégré.

ColorShare : logiciel conçu par Apple pour autoriser le partage, sur un réseau, d’une imprimante couleur entre plusieurs ordinateurs Mac OS. ColorShare met également en œuvre une technologie de demi-teintes par diffusion qui améliore le rendu des détails sur les images imprimées en couleur.

ColorSync : logiciel de gestion colorimétrique conçu par Apple. ColorSync opère en arrière-plan des applications afin de garantir la cohérence des couleurs à l’affichage comme à l’impression.

commutation de paquets : système de télécommunication consistant à acheminer séparément des paquets (messages ou fragments de messages) jusqu’à leur destination par l’itinéraire le plus efficace. Les différents paquets d’un même message n’empruntent donc pas nécessairement le même itinéraire. L’ordinateur de destination remet les paquets reçus dans l’ordre approprié. La commutation de paquets permet d’exploiter le réseau de manière optimale et de réduire les temps de transmission. X.25 est une norme internationale de commutation de paquets.

composite : qualifie un type de codage vidéo dans lequel des informations de plusieurs natures sont combinées en un seul signal pour la diffusion et l’enregistrement. La notion de vidéo composite fait parfois spécifiquement référence au standard vidéo américain NTSC. Les images vidéo affichées sur l’écran d’un Macintosh peuvent être converties en vidéo composite au moyen d’un équipement approprié (convertisseur vidéo).

configurable : qualifie les nouveaux ordinateurs à processeur G3 d’Apple, qui peuvent voir leur configuration matérielle adaptée aux souhaits de l’acheteur (mémoire, carte audio/vidéo, etc.).

connecteur : partie d’un composant électronique permettant de relier ce dernier à un autre composant au sein d’un système informatique.

connecteur d’extension mémoire : connecteur placé sur la carte mère ou sur une carte d’extension et destiné à recevoir des barrettes qui augmentent la capacité mémoire de l’ordinateur.

convertisseur vidéo : dispositif permettant d’afficher l’image d’un moniteur de Macintosh sur un écran de télévision. Un tel convertisseur est nécessaire car l’ordinateur et le téléviseur emploient des signaux vidéo différents.

coprocesseur : processeur qui assiste le microprocesseur central dans l’exécution de certaines fonctions spécialisées. En général, le coprocesseur lit en parallèle les instructions destinées au processeur et n’exécute que celles qui le concernent spécifiquement (fonctions mathématiques, accélération graphique, etc.).

coprocesseur arithmétique : processeur qui prend en charge les calculs à virgule flottante plus efficacement que le microprocesseur central de l’ordinateur. La plupart des microprocesseurs rapides actuels, tels que le PowerPC 603e, disposent d’un coprocesseur arithmétique intégré.

création multimédia : processus de création et de présentation de l’information sous diverses formes (son, vidéo, texte, par exemple).

cristaux liquides (LCD) : technologie d’affichage utilisée sur les ordinateurs portables. Les écrans à cristaux liquides sont plus plats, plus légers et consomment moins d’énergie que les moniteurs à tube cathodique des ordinateurs de bureau. On distingue deux types d’écrans à cristaux liquides : ceux à matrice active (TFT) et ceux à matrice passive.

Cyrix : constructeur de processeurs compatibles avec les modèles 486 et Pentium d’Intel. Certains cartes de compatibilité PC pour Power Macintosh sont équipées d’un processeur Cyrix.

DAV (Digital Audio/Video) : désigne un connecteur destiné à un périphérique audio/vidéonumérique, tel qu’un lecteur de vidéodisque.

DAT (Digital Audio Tape) : format numérique permettant d’enregistrer de la musique ou des données informatiques sur bande magnétique.

débit : vitesse de transmission des données par un modem, mesurée en kilobits par seconde (kbits/s). La plupart des modems actuels atteignent un débit compris entre 14,4 et 56,6 kbits/s, grâce à différentes techniques de compression des données.

DECnet : protocole de réseau conçu par la société Digital Equipment Corporation (DEC).

dérouleur de bande : périphérique qui lit et écrit des informations sur bande magnétique, servant principalement aux fins de sauvegarde ou d’archivage d’importants volumes de données.

DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) : protocole de réseau mis en place par Microsoft et destiné à l’allocation dynamique des adresses IP aux PC fonctionnant en réseau local Microsoft Windows.

DIMM (Dual In-line Memory Module) : désigne des circuits intégrés en forme de barrettes, servant à étendre la capacité mémoire d'un ordinateur. Les barrettes DIMM sont plus performantes que les anciennes barrettes SIMM (Single In-line Memory Module).

disque dur : support de stockage d’informations constitué d’un ou plusieurs plateaux magnétiques, dotés de têtes de lecture-écriture. Certains disques durs résident en permanence dans l’ordinateur, d’autres sont extractibles. La capacité des disques durs se mesure aujourd’hui en gigaoctets.

disquette : disque magnétique de 3,5 pouces de diamètre, logé dans un boîtier plastique et destiné au stockage et au transport de fichiers informatiques. À l’heure actuelle, la capacité d’une disquette est devenue très limitée (de 700 Ko à 1,4 Mo). Les formats de disquettes sont différents d’un type d’ordinateur à un autre, mais des logiciels de conversion permettent de lire, sur un ordinateur, les disquettes issues d’un ordinateur d’un autre type.

DMA (Direct Memory Access) : accès direct, en lecture et en écriture, par les périphériques à la mémoire de certains ordinateurs, sans passage par le processeur central. Il en résulte un gain de performances.

DNS (Domain Name Server) : serveur de noms de domaine, c’est-à-dire un ordinateur qui convertit les noms d’hôtes en adresses Internet.

dock : station d’accueil à laquelle peut se connecter un ordinateur portable, afin d’accéder à des périphériques supplémentaires, à un réseau local, etc.

DOS : système d’exploitation sous-jacent de la plupart des ordinateurs compatibles PC.

DRAM (Dynamic Random Access Memory) : mémoire vive dont le contenu doit être rafraîchi régulièrement. Caractérisées par leur haute densité et leur faible coût, les barrettes DIMM de DRAM constituent le meilleur moyen pour étendre la mémoire d’un ordinateur.

Dual Scan : désigne un type d’écran à cristaux liquides à matrice passive utilisé sur certains ordinateurs PowerBook. La technologie à matrice passive est beaucoup plus économique que celle à matrice active, mais elle offre un angle de vision moins large et réagit plus lentement au rafraîchissement de l’image.

DVD (Digital Video Disc, puis Digital Versatile Disc) : nouvelle génération de disque optique de stockage.

Initialement destiné à la vidéo, le DVD est appelé à trouver de nombreuses autres applications dans le domaine des loisirs, de l’électronique et de l’informatique.

Le DVD est un disque optique de 12 cm, identique en taille et en aspect au CD, mais présentant une capacité de stockage 25 fois plus élevée et une vitesse 9 fois supérieure. Ce gain de capacité permet d’y stocker de la vidéo et du son de très haute qualité. Les autres avantages du DVD sont les suivants :

Il est important de noter la différence entre DVD-Vidéo et DVD-ROM. Le premier (le DVD d’origine) contient des programmes vidéo destinés à être projetés sur un téléviseur par un lecteur de DVD. Le DVD-ROM, en revanche, renferme des données informatiques exploitées sur un ordinateur grâce à un lecteur de DVD connecté à ce dernier. Cette différence est comparable à celle existant entre un CD audio et un CD-ROM. Le DVD-ROM sera à terme décliné en plusieurs variantes, autorisant un seul enregistrement (DVD-R) ou plusieurs (DVD-RAM).

DVD-Vidéo : à l’heure où les DVD-Vidéo s’apprêtent à supplanter les vidéodisques et les lecteurs de DVD-ROM à remplacer les lecteurs de CD-ROM sur le marché micro-informatique, le moment est venu pour le Macintosh, symbole de l’ordinateur multimédia, de se rallier à ces nouveaux standards. Toutefois, un lecteur de DVD-ROM n’est pas suffisant pour visionner des images au format DVD-Vidéo, car celles-ci font appel à la compression MPEG-2, très gourmande en puissance de calcul. C’est pourquoi un matériel de décodage MPEG est également nécessaire.

Utilisé en conjonction avec la carte DVD Audio/Vidéo, le lecteur de DVD-ROM Apple vous permettra de bénéficier du catalogue croissant de titres (cinématographiques ou autres) disponibles sur DVD-Vidéo.

égaliseur : dispositif dont le rôle est de corriger un signal audio de façon à ce qu’aucune fréquence sonore ne soit perçue comme plus intense que les autres.

émulateur de terminal : logiciel permettant à un utilisateur d'interagir avec un ordinateur distant comme s'il était directement relié à ce dernier. Exemple : Telnet.

émulation : fait, pour un système informatique, de reproduire le fonctionnement d'un autre système, parfois au prix d'un ralentissement. Certaines imprimantes sont par exemple capables d'émuler automatiquement d'autres types d'imprimantes.

encapsulage : un protocole de réseau est encapsulé dans un autre lorsque des équipements distants communiquent entre eux via le premier protocole mais sont reliés par un inter-réseau utilisant l’autre protocole. L’encapsulage revient en quelque sorte à créer un "tunnel" virtuel, reliant deux réseaux locaux au travers d’un réseau longue distance.

encombrement : espace occupé sur le bureau ou au sol par un équipement informatique.

encre électronique : sur Newton, écriture manuscrite conservée telle quelle en mémoire mais pouvant être interprétée ultérieurement.

Energy Star : norme édictée par l’agence américaine de protection de l’environnement et visant à réduire la consommation énergétique des équipements informatiques. Tous les modèles d’imprimantes et de moniteurs Apple actuellement commercialisés sont conformes à la norme Energy Star, synonyme d’économies.

ergonomie : étude de la conception et de l’aménagement du matériel, visant à assurer des conditions de travail saines, confortables et efficaces. Les claviers, souris et écrans Apple sont testés de façon à se conformer à des principes ergonomiques.

Ethernet : technologie de réseau local consistant à découper les informations en paquets (ou trames), qui sont acheminés à destination sans risque de collision.

EtherTalk : intégration par Apple des protocoles AppleTalk à un réseau Ethernet.

extension : sous Mac OS, fichier qui apporte des capacités supplémentaires au logiciel système. Les extensions se trouvent dans le sous-dossier Extensions du Dossier Système. QuickTime, Apple Guide, les gestionnaires d’imprimantes ou de modems sont des exemples d’extensions.

Finder : partie du système Mac OS qui gère les fichiers et les applications et affiche le Bureau.

FinePrint : technologie conçue par Apple et permettant aux imprimantes laser de produire des points de taille différente. Cela se traduit par une amélioration de la qualité d’impression, en particulier pour le rendu des photographies et d’autres images riches en détail.

FireWire : nom initial d’une technologie inventée par Apple et reprise par la suite par Microsoft et d’autres entreprises sous le nom IEEE 1394. Cette technologie est appelée à être mise en œuvre par les principaux constructeurs informatiques. La norme 1394 est destinée à l’interconnexion à très haut débit des périphériques en série. Tout comme USB, elle permet leur branchement Plug & Play, assure leur alimentation électrique, éliminant ainsi la nécessité d’adaptateurs séparés pour chacun, et autorise les transferts de données isochrones. IEEE 1394 offre ces capacités à un débit compatible avec la diffusion d’images vidéo. USB et 1394 répondent à des besoins différents qui vont coexister dans un futur proche. Les périphériques n’exigeant pas les très hauts débits rendus possibles par 1394 seront connectés via un port USB. À terme, les micro-ordinateurs n’auront besoin que de ports série USB et 1394 pour gérer toutes les entrées-sorties externes, ce qui simplifiera considérablement la vie des utilisateurs.

Dans le domaine de l’électronique de loisirs, divers appareils numériques (caméscopes, récepteurs de télévision par satellite, magnétoscopes) sont d’ores et déjà équipés d’interfaces 1394. La norme CableLabs OpenCable applicables aux décodeurs numériques stipule la présence de cette interface. Il faut donc s’attendre à la rencontrer sur les téléviseurs numériques, les décodeurs et les lecteurs de DVD dans les mois à venir. 1394 est la passerelle physique qui permet la convergence entre l’électronique de loisirs et la micro-informatique. Les produits existants gèrent des protocoles 1394 à 100 et 200 Mbits/s, tandis que les 400 Mbits/s sont attendus d’ici à la fin de 1998. À plus longue échéance, des débits de 800, 1600 et 3200 Mbits/s sont prévus.

Les très hauts débits délivrés par 1394 favorisent le transfert de davantage de données "brutes" par les périphériques vers l’unité centrale pour traitement par cette dernière, ce qui devrait faire baisser le coût des appareils photo numériques et des imprimantes, par exemple. L’avènement de la norme IEEE 1394 bénéficiera non seulement aux nouveaux appareils électroniques grand public, mais aussi aux périphériques informatiques de base. Ainsi, un scanner à interface 1394 sera nettement plus rapide qu’un scanner connecté au port parallèle, notamment à des résolutions élevées.

Combiné à USB, 1394 permet d’imaginer une nouvelle approche "modulaire " de l’architecture d’un ordinateur, les différents modules étant interconnectés par deux bus série. La proposition de spécification Device Bay est un excellent exemple des nouvelles applications envisageables grâce à 1394 (et USB), en l’occurrence pour faciliter l’emploi de périphériques modulaires.

Flash Card : carte mémoire compacte utilisable sur les produits Newton, par exemple.

fournisseur d’accès Internet (FAI) : prestataire de services qui dispose d’un certain nombre d’ordinateurs connectés à Internet et offre à ses abonnés l’accès au courrier électronique et au Web.

fréquence d’horloge : vitesse, exprimée en MHz (millions d’impulsions par seconde), à laquelle le microprocesseur effectue les opérations élémentaires. La fréquence est un critère significatif pour la comparaison des processeurs d’une même famille, mais non de familles différentes de processeurs. D’autres facteurs entrent en effet en ligne de compte dans la rapidité globale d’un ordinateur.

fréquence de rafraîchissement : nombre maximal d’images entières qu’un moniteur peut afficher par seconde, exprimé en Hertz (Hz). Une fréquence de rafraîchissement (ou de balayage) élevée réduit le scintillement et la fatigue visuelle. Cette fréquence est généralement comprise entre 60 et 75 Hz. Elle est limitée par la résolution d’écran car le nombre de lignes de balayage augmente avec la résolution.

FTP (File Transfer Protocol) : protocole gérant le transfert de fichiers entre deux ordinateurs sur un réseau TCP/IP, et plus particulièrement sur Internet.

GeoPort : technologie intégrée à certains ordinateurs Power Macintosh et permettant (moyennant les logiciels appropriés) d’utiliser l’ordinateur comme modem, télécopieur, téléphone et répondeur.

gestionnaire : logiciel qui pilote un périphérique d’ordinateur, tel qu’une imprimante ou un modem.

Gestionnaire d’alias : partie du système Mac OS qui gère les alias (de petits fichiers qui pointent vers les originaux).

gigaoctet (Go) : unité de mesure de la capacité de stockage d’un disque dur, égale à 1 073 741 824 octets ou 1024 mégaoctets. 1 Go représente par exemple le texte d’une encyclopédie en 32 volumes.

Gopher : système distribué de recherche de documents. Un serveur Gopher présente un menu de documents, pouvant être des fichiers texte, des sons, des images, des sous-menus ou d’autres types de fichiers. Aujourd’hui, Gopher a été largement supplanté par le World Wide Web, reposant sur des principes similaires et donnant également accès aux documents Gopher.

graphique, format de fichier : il existe de nombreuses façons de coder les informations graphiques dans un document informatique. Les principaux formats graphiques sont BMP, EPS, GIF, JPEG, PICT et TIFF. La plupart des logiciels et des navigateurs Web sont capables d’afficher des fichiers de différents formats.

GrayShare : technologie intégrée aux imprimantes Apple exploitant le logiciel QuickDraw. GrayShare autorise l’impression en niveaux de gris et le partage d’imprimante.

HP-UX: version du système d’exploitation UNIX mise au point par Hewlett-Packard.

HTML (Hypertext Markup Language) : format des documents hypertexte en usage sur le Web. Le langage HTML fonctionne sur le principe des balises, c’est-à-dire d’instructions imbriquées dans le texte. Deux balises (une de début et une de fin) peuvent encadrer un texte pour l’afficher dans un style particulier, par exemple en gras ou italique. D’autres balises servent à définir des liens pointant vers une autre partie du document et vers un autre document, stocké sur le même ordinateur ou sur un autre.

HyperCard : logiciel Mac OS destiné à la gestion de l’information et à la création de présentations multimédias. HyperCard permet de consulter les informations, gère les images, dispose d’une interface utilisateur personnalisable et possède son propre langage de programmation, HyperTalk.

hypertexte : texte servant de lien et pointant vers une autre information.

IDE (Integrated Drive Electronics) : interface standard de communication entre les disques et les autres éléments d’un ordinateur. Sur PC, les disques durs utilisent couramment l’interface IDE. Cette interface est également employée sur certains ordinateurs Macintosh.

image visible : taille d’image effectivement affichée sur un moniteur, ce qui exclut la bordure noire qui entoure généralement l’image ainsi que le cadre plastique de l’écran.

IMAP (Internet Message Access Protocol) : protocole de gestion des boîtes aux lettres électroniques, permettant les opérations suivantes : création, suppression et changement de nom d’une boîte ; consultation de nouveaux messages ; suppression de messages ; recherche ; extraction sélective des attributs et de tout ou partie du texte d’un message. IMAP ne prend pas en charge l’envoi du courrier, cette fonction étant gérée par un autre protocole tel que SMTP.

Modèles de messagerie
Il existe trois modèles fondamentaux de messagerie électronique client/serveur : hors ligne, en ligne et déconnecté. Ces différents modèles, décrits ci-dessous, mettent en lumière l’évolution du courrier électronique depuis ses origines ainsi que les avantages du protocole IMAP4 par rapport à POP.

Le protocole POP3 a pour lui sa simplicité, sa stabilité et sa quasi-universalité sur toutes les plates-formes. Il demeure la solution privilégiée pour la messagerie hors ligne, comme en témoigne le succès phénoménal de logiciels clients tels que Eudora.

En revanche, pour l’accès en ligne ou déconnecté, la simplicité de POP3 devient un inconvénient. Il est par exemple deux cas précis où POP3 montre ses limites. Le premier est celui de la gestion de l’accès de plusieurs clients au même ensemble de messages. Cela peut se produire, par exemple, lorsqu’un utilisateur dispose d’un ordinateur à son bureau et d’un autre à son domicile, et qu’il souhaite consulter sa boîte aux lettres à partir de l’un ou de l’autre à des moments différents. POP3 n’offre aucun moyen d’indiquer à un client la nature des opérations déjà effectuées sur les messages par un autre client. Autre cas problématique : celui d’un message court auquel sont joints un ou plusieurs fichiers volumineux. Dans ce cas précis, POP3 ne propose que l’alternative suivante : ignorer l’ensemble du message en désactivant le téléchargement des messages volumineux ou bien rapatrier la totalité du message et de ses pièces jointes, au risque de paralyser la messagerie pendant un certain temps. Ici, il serait pratique de pouvoir récupérer séparément les différentes parties du message pour pouvoir n’en lire que le texte.

Plus complexe que POP, le protocole IMAP est en mesure de faire face aux scénarios ci-dessus. En fait, il se prête idéalement aux trois modèles de messagerie client/serveur. Le tableau suivant récapitule les avantages fonctionnels d’IMAP4 (dernière version en date) sur POP3 :

Au vu de ces avantages, on peut se demander pourquoi IMAP tarde encore à remplacer POP3 en tant que principal protocole de messagerie sur Internet. En fait, si le passage à IMAP4 des logiciels Microsoft Exchange, Netscape SuiteSpot et SunSoft Solstice Internet Mail Server a bien été annoncé, les éditeurs de logiciels ont eu tendance à traîner les pieds face à la complexité de programmation de ce nouveau protocole, d’autant que la demande des utilisateurs dans ce sens commence seulement à se faire jour.

infrarouge : technique de transmission sans fil d’informations entre des équipements informatiques (selon le même principe qu’entre une télécommande et un téléviseur). Les équipements en question doivent se trouver à quelques mètres l’un de l’autre. Les produits Newton et certaines imprimantes sont dotés de ce type de possibilité.

interface graphique : logiciel ou système d’exploitation faisant appel à des symboles visuels pour représenter les informations sur lesquelles l’utilisateur peut intervenir. Toute interface graphique repose sur la notion de fenêtre (c’est le cas, par exemple, de Mac OS, de X Window ou de Microsoft Windows).

Internet : le plus vaste inter-réseau qui soit. Internet est une structure hiérarchique regroupant différents types de réseaux commerciaux, universitaires et militaires. Les principales applications d’Internet sont le Web et le courrier électronique.

inter-réseau : ensemble de réseaux interconnectés par des routeurs.

intranet : désigne un réseau fonctionnant selon les mêmes principes qu’Internet mais limité au cadre d’une entreprise.

IPX (Internetwork Packet eXchange) : protocole Novell Netware destiné à l’interconnexion de réseaux locaux.

IrDA (Infrared Data exchange Association) : technologie permettant à des équipements informatiques, situés à proximité l'un de l'autre, d'échanger des informations sans recourir à des câbles, au moyen de rayons infrarouges. Le principe est identique à celui des télécommandes. Les produits Newton et certaines imprimantes sont dotés de ce type de possibilité.

IRTalk : protocole autorisant le transfert de données par infrarouge, mis en œuvre par les produits Newton et certaines imprimantes.

Java : langage de programmation conçu par Sun Microsystems et servant à créer des mini-applications (applets) capables de fonctionner sur la plupart des systèmes d’exploitation.

kbits/s (kilobits par seconde) : unité de mesure de la vitesse de transmission (débit) des modems et d’autres équipements informatiques. Par exemple, un modem 28,8 kbits/s peut échanger des informations à la cadence de 28000 bits par seconde.

langage de description de page : langage utilisé par les applications pour décrire les pages d’un document de façon que celui-ci soit reproduit de façon identique sur différents types d’imprimantes. Exemples : PostScript, PCL.

laser : technologie d’impression haute résolution sans impact, faisant appel à un faisceau laser. Lorsque le faisceau frappe le papier, ce dernier attire des particules d’encre sèche magnétisée (toner). Le toner est chauffé de façon à se fixer sur le papier pour y imprimer une image. La résolution des imprimantes laser est comprise entre 300 et 600 points par pouce (ppp).

LCD : voir cristaux liquides.

lithium-ion (LiIon) : type de batterie légère et de grande autonomie équipant les ordinateurs portables de haut de gamme.

LocalTalk : système de câblage reliant différents équipements informatiques qui communiquent via le protocole AppleTalk.

Mac OS : système d’exploitation conçu par Apple pour les ordinateurs Macintosh et compatibles.

MacBinary : format de fichier Mac OS permettant le transfert sur un réseau.

magnéto-optique : qualifie un disque de plastique ou de verre revêtu d’un matériau spécial, sur lequel les informations sont lues par un faisceau laser de basse intensité et écrites par un faisceau laser de haute intensité.

masque : dans un moniteur, plaque métallique percée de trous, qui dirige les faisceaux d’électrons vers l’écran.

matériel : ensemble des éléments physiques d’un ordinateur (processeur, mémoire, périphériques d’entrée, de stockage et de sortie, câbles, moniteur, etc.), par opposition au logiciel.

matrice active : technologie d’écran assurant un affichage de haute qualité sur les ordinateurs portables tels que les PowerBook. Un écran à matrice active (également appelé TFT) offre un angle de vision plus large et réagit plus rapidement au rafraîchissement de l’image. À chaque pixel correspond un composant actif (transistor, par exemple) qui mémorise son état entre chaque balayage de l’image afin d’éviter l’évanouissement de cette dernière.

matricielle : se dit d’une imprimante dont la tête d’impression, composée d’une matrice dense d’aiguilles, vient frapper un ruban encré placé devant le papier. Pour imprimer une image, la tête se déplace sur la page, les aiguilles activées à un moment donné produisant des points.

mégahertz (MHz) : unité de mesure de la fréquence d’horloge du processeur d’un ordinateur, correspondant à un million de cycles par seconde.

mémoire : élément d’un ordinateur ou d’un autre équipement informatique, chargé de stocker les informations et dont la capacité se mesure en kilooctets (Ko), en mégaoctets (Mo) ou en gigaoctets (Go).

mémoire cache : circuit mémoire qui stocke les instructions ou informations fréquemment ou récemment utilisées, de façon à rendre celles-ci plus rapidement accessibles et à accélérer le fonctionnement de l’ordinateur. La mémoire cache peut être intégrée au processeur central ou bien ajoutée sous la forme d’une carte pour les ordinateurs qui en sont dépourvus au départ. La mémoire cache de Niveau 1 est une mémoire ultra-rapide, de petite capacité, placée à l’intérieur ou à proximité immédiate du processeur. La mémoire cache de Niveau 2 est une mémoire de plus grande capacité, mais plus lente, intercalée entre la mémoire cache de Niveau 1 et la mémoire centrale.

mémoire morte (ROM) : mémoire dont le contenu ne peut être modifié mais est préservé même lorsque l’ordinateur est éteint, contrairement à la mémoire vive. La mémoire morte contient essentiellement le logiciel de démarrage de l’ordinateur, mais peut aussi renfermer une partie de son système d’exploitation.

mémoire vidéo : mémoire (généralement de type VRAM) servant à stocker l’image affichée sur l’écran d’un ordinateur. Chaque pixel de l’image est codé en mémoire au moyen de plusieurs bits, dont le nombre détermine le nombre de couleurs affichables. Par exemple, 8 bits par pixel correspondent à 256 couleurs possibles.

mémoire vive (RAM) : partie de la mémoire d’un ordinateur qui stocke temporairement les instructions et les informations en cours d’utilisation à un moment donné. La mémoire vive présente une rapidité d’accès élevée en lecture comme en écriture. Toutefois, son contenu est généralement perdu lorsque l’ordinateur est éteint.

messagerie vocale numérique : ensemble matériel et logiciel permettant à un ordinateur de recevoir et d’enregistrer des messages téléphoniques, à la manière d’un répondeur classique.

microprocesseur : circuit intégré constitué de millions de transistors microscopiques et d’autres éléments interconnectés, disposés sur une tranche de silicium. Désigne en particulier le processeur central d’un ordinateur.

MIDI (Musical Instrument Digital Interface) : technologie permettant de faire communiquer des ordinateurs, des synthétiseurs, des claviers et d’autres instruments de musique électroniques, les différents appareils connectés en chaîne par une liaison série comportant trois prises (MIDI In, MIDI Out et MIDI Through).

minitour : désigne un boîtier d’ordinateur conçu pour être posé verticalement sous le bureau, plutôt que horizontalement sur ce dernier. Un boîtier minitour comporte différents emplacements superposés pour l’installation de périphériques de stockage (disques durs, lecteur de CD-ROM, lecteur de disques extractibles, etc.).

mixage à double entrée : combinaison de deux signaux d’entrée audio.

modélisation 3D : création d’objets tridimensionnels sur ordinateur. En raison de la complexité du traitement mathématique nécessaire, la modélisation 3D exige une grande puissance de calcul.

modem (modulateur/démodulateur) : équipement permettant à des ordinateurs de communiquer par l’intermédiaire d’une ligne téléphonique classique. Les modems se distinguent principalement par leur vitesse de transmission (débit), généralement comprise à l’heure actuelle entre 14,4 et 56,6 kbits/s (un modem à 28,8 kbits/s minimum étant préférable pour naviguer efficacement sur le Web). La vitesse effective de transmission est en fait conditionnée par le plus lent des deux modems qui communiquent, par la rapidité de la liaison entre le modem et l’ordinateur, par le type de compression de données utilisé et par la qualité de la ligne téléphonique.

modem sans fil : modem permettant d’accéder à un réseau sans fil.

monochrome : qualifie un périphérique capable d’afficher ou d’imprimer une seule couleur (en général le gris), dans différentes nuances.

MPEG (Motion Picture Experts Group) : norme internationale de compression vidéo et audio numérique. MPEG-1 est optimisé pour les CD-ROM ; MPEG-2 (également connu sous le nom de VBR ou MPEG à débit variable) concerne la vidéo de qualité télévisuelle.

MS-DOS (Microsoft Disk Operating System) : système d’exploitation de la plupart des ordinateurs PC, conçu par Microsoft. Windows est une surcouche de MS-DOS.

Multicast IP : mode d’adressage Ethernet permettant d’envoyer des informations à plusieurs postes d’un même type, voire à tous les postes du réseau. Cela facilite le travail collaboratif ou encore les téléconférences.

multifréquence : qualifie un moniteur capable d’afficher différentes tailles et résolutions d’image.

multimédia : s’applique à des informations fournies ou traitées sous diverses formes (texte, dessins, son et vidéo).

multiplate-forme : qualifie une équipement, un logiciel ou un format de fichier exploitable sur plusieurs types de matériel informatique ou de système d’exploitation. Par exemple, un format de fichier exploitable aussi bien sur les ordinateurs Mac OS que sur des PC fonctionnant sous Windows est multiplate-forme.

multiprocesseur (MP) : se dit d’un système informatique doté de plusieurs processeurs, qui fonctionnent indépendamment ou en parallèle.

multitâche : technique permettant d’exécuter plusieurs tâches simultanément sur un même processeur. Un ordinateur capable d’exécuter plusieurs programmes à la fois (permettant par exemple de rédiger un document dans un traitement de texte tout en copiant des fichiers) est qualifié de multitâche.

NETBEUI (NetBIOS Extended User Interface) : protocole de transport utilisé par les réseaux Microsoft et IBM LAN Server.

NiMH (Nickel-Métal-Hydrure) : type de batterie de grande capacité, mais relativement lourde, utilisée dans les ordinateurs portables.

Niveau 1, Niveau 2 : voir mémoire cache.

non volatile : qualifie un type de mémoire vive dont le contenu est conservé même lorsque l’ordinateur est éteint.

Novell Netware : système d’exploitation réseau pour PC, admettant des clients MS-DOS, Microsoft Windows, OS/2, Macintosh et UNIX.

NTSC (National Television Standards Committee) : standard vidéo en usage aux Etats-Unis, au Japon et dans d’autres pays. Également appelé "vidéo composite" car il combine toutes les informations vidéo, y compris de couleur, dans un même signal.

NuBus : technologie de bus conçue par Apple pour la connexion de périphériques et de cartes aux ordinateurs Macintosh. Le bus PCI a succédé à NuBus sur ces derniers.

OCR : voir reconnaissance optique de caractères.

Open Transport : logiciel conçu par Apple pour faciliter la configuration et la gestion des réseaux exploitant plusieurs protocoles, par exemple AppleTalk et TCP/IP.

paire torsadée : désigne un type de câble, principalement utilisé sur les réseaux Ethernet et conçu pour éviter les interférences avec un câblage voisin.

PAL (Phase Alternative Line) : standard de télévision et de vidéo de la plupart des pays d’Europe occidentale (à l’exception de la France, qui utilise SECAM). PAL évite les distorsions de couleurs inhérentes au système NTSC. Bien que ces différents standards vidéo soient incompatibles entre eux, une conversion d’un standard à l’autre est possible.

pas de masque : mesure de la précision d’un écran, correspondant à la distance minimale entre deux points de la même couleur. Le pas de masque est généralement compris entre 0,28 et 0,51 mm. L’image est d’autant plus nette que cette valeur est faible. On considère qu’un pas de masque inférieur ou égal à 0,31 est préférable, en particulier pour l’affichage de texte.

passerelle : équipement ou logiciel destiné à assurer la conversion des informations entre des réseaux de type différent.

PC Card : désigne un périphérique miniaturisé à la taille d’une carte de crédit, qui s’insère dans un ordinateur portable ou de poche. Anciennement connu sous le sigle PCMCIA (Personal Computer Memory Card International Association). Une carte PC Card peut contenir un modem, de la mémoire, un disque dur, etc.

PCI (Peripheral Component Interconnect) : technologie de bus permettant à un ordinateur de communiquer avec ses périphériques, par l’intermédiaire de cartes d’extension. Conçu par Intel, le bus PCI est aujourd’hui en usage sur les ordinateurs à processeur Pentium et PowerPC. Il a succédé à NuBus sur les ordinateurs Power Macintosh.

PCL-5 (Printer Control Language) : langage de description de document utilisé sur les imprimantes Laserjet de Hewlett-Packard.

PDF : voir Acrobat PDF.

Pentium : processeur conçu par Intel pour les ordinateurs PC et successeur du processeur Intel 486.

Photo CD : technologie conçue par Kodak pour le stockage de photographies, en plusieurs résolutions, sur un CD-ROM. Un Photo CD peut contenir une centaine de photos. Lorsque le contenu d’une pellicule est enregistré sur un Photo CD, puis qu’une autre pellicule y est enregistrée par la suite, le Photo CD est dit multisession. Les premiers lecteurs de CD-ROM n’étaient pas capables de lire un Photo CD multisession.

PhotoGrade : technologie permettant à certaines imprimantes laser Apple de produire des images comportant jusqu’à 91 nuances de gris et donc d’imprimer des photographies très proches des originaux.

pile : document créé par HyperCard.

pixel (picture element) : plus petit élément rectangulaire d’une image affichée à l’écran ou stockée en mémoire. Dans une image en couleur, les informations mémorisées pour chaque pixel correspondent à des niveaux de luminance et de chrominance, généralement codés sous la forme de trois valeurs (rouge, vert, bleu).

PlainTalk : nom d’un microphone Apple optimisé pour la reconnaissance vocale.

plate-forme : combinaison d’un matériel informatique et d’un système d’exploitation donnés. Les ordinateurs PC et Macintosh sont deux exemples de plates-formes différentes.

points par pouce (ppp) : unité de mesure de la résolution des imprimantes, des scanners et des moniteurs. La résolution des imprimantes laser est généralement de 300 à 600 ppp ; celles des photocomposeuses professionnelles (flasheuses) de 1200 ppp.

police vectorielle : police de caractères dont le dessin est défini par des formules mathématiques, par opposition à une police bitmap, constituée de points. Les polices PostScript et TrueType sont des exemples de polices vectorielles. Une police vectorielle peut être déclinée dans n’importe quelle taille (corps) sans perte de qualité, alors qu’une police bitmap doit être spécifiquement créée dans chaque corps de caractère.

pont : équipement servant à interconnecter différents segments de réseau.

POP (Post Office Protocol) : protocole permettant de récupérer du courrier électronique sur le serveur d’un fournisseur d’accès Internet, à partir d’un ordinateur personnel.

port InterConnect Newton : port spécial équipant les produits Newton et eMate et autorisant la connexion à une imprimante ou à un ordinateur.

port parallèle : interface qui assure le transfert des données sur plusieurs fils simultanément, la vitesse de transmission s’en trouvant multipliée d’autant. Les imprimantes pour PC sont souvent connectées au port parallèle de l’ordinateur.

port série : interface de communication dans laquelle les informations sont transmises à raison d’un bit à la fois. Le port série sert à relier à l’ordinateur, par exemple, un modem, un périphérique MIDI ou une imprimante LocalTalk.

PostScript : langage de description de page utilisé sur la plupart des imprimantes Apple LaserWriter ainsi que par d’autres marques d’imprimantes laser et certains systèmes d’affichage graphique. PostScript décrit le contenu d’une page à imprimer ou à afficher sous la forme d’une suite d’instructions. Fonctionnant sur de nombreux ordinateurs et périphériques d’impression, il représente un moyen standard de transmettre des documents entre deux équipements informatiques, par exemple un poste de travail et une photocomposeuse (ou flasheuse). PostScript doit sa puissance hors du commun au fait qu’il s’agit d’un langage de programmation à part entière.

PowerPC : microprocesseur très rapide élaboré à la suite d’une alliance conclue entre Motorola, IBM et Apple Computer. Tous les modèles d’ordinateurs Macintosh et PowerBook aujourd’hui commercialisés sont dotés d’un processeur PowerPC.

PPP (Point-to-Point Protocol) : protocole standard de transmission des paquets de données sur Internet.

processeur central : le cœur et le cerveau de l’ordinateur, qui pilote tous les autres composants. Il s’agit d’un circuit intégré monté sur la carte mère. Le processeur central lit les instructions en mémoire et les décode. Cela implique un échange permanent d’informations avec la mémoire centrale et les périphériques d’entrée-sortie.

protocole : ensemble de règles présidant à la transmission des données, en particulier sur un réseau. Les protocoles de bas niveau définissent les aspects électriques et physiques, l’agencement élémentaire des informations et la correction d’erreurs. Les protocoles de haut niveau portent sur le formatage, la syntaxe, le dialogue entre ordinateurs et terminaux, les jeux de caractères, etc.

push : technologie intégrée à Mac OS 8 et consistant, pour un serveur Internet, à personnaliser les informations envoyées aux différents utilisateurs connectés.

QTML (QuickTime Media Layer) : norme élaborée par Apple et portant sur la création de contenu multimédia destiné à Internet. QTML prend en charge de nombreux modes de compression/décompression et types de médias (texte, musique, vidéo, objets de réalité virtuelle, objets 3D, animation).

QuickDraw : partie du système Mac OS qui gère les opérations graphiques. En particulier, QuickDraw 3D prend en charge la manipulation des dessins en trois dimensions.

QuickTime : technologie conçue par Apple pour l’intégration de la vidéo et du son numérisé aux applications, en vue de créer et de diffuser du contenu multimédia. La plupart des séquences audio et vidéo accessibles sur le Web sont élaborées au moyen de QuickTime.

QuickTime VR : technologie permettant de représenter un objet 3D de façon que l’utilisateur puisse le visionner sous différents angles. Cette représentation est obtenue par la combinaison d’images fixes et de séquences vidéo QuickTime.

RAID (Redundant Arrays of Independent Disks) : technologie consistant à regrouper plusieurs disques en une batterie (ou baie), qui se comporte comme un seul volume de stockage sécurisé.

RAM : voir mémoire vive.

reconnaissance optique de caractères (OCR) : numérisation d’un texte imprimé ou écrit, pour exploitation sur ordinateur. La plupart des scanners sont livrés avec un logiciel d’OCR.

reconnaissance vocale : identification, par un ordinateur, des mots prononcés par un utilisateur.

recto verso : impression automatique des deux côtés d’une feuille de papier.

réseau étendu (WAN) : réseau longue distance (dépassant généralement 1 km) construit à partir de lignes série.

réseau local (LAN) : réseau de superficie relativement limitée (en général moins de 1 km), par exemple de type Ethernet. La faible étendue du réseau autorise des vitesses de transfert de données très élevées entre les postes.

réseau sans fil : réseau informatique dont les postes ne sont pas reliés entre eux par des câbles physiques mais par des liaisons radio. Ce type de communication est toutefois davantage sujet à erreurs.

résolution d’écran : nombre maximal de pixels affichables sur un moniteur, exprimé sous la forme largeur x hauteur, par exemple 1024 x 768.

résolution d’imprimante : nombre maximal de points qu’une imprimante est capable de produire sur une surface donnée, exprimé en points par pouce (ppp). Les imprimantes Apple LaserWriter actuelles ont une résolution de 600 ppp.

rétroéclairé : qualifie un ordinateur portable sur lequel la luminosité de l’écran est améliorée au moyen d’un éclairage par l’arrière, au prix toutefois d’une décharge plus rapide de la batterie.

RISC (Reduced Instruction Set Computer) : désigne un processeur à jeu d’instructions réduit, qui combine des instructions simples, plus rapides à exécuter, au lieu de recourir à des instructions complexes plus diversifiées mais plus lentes. Le PowerPC est un processeur RISC.

RNIS (Réseau Numérique à Intégration de Services) : ensemble de normes de télécommunication permettant la transmission simultanée de la voix, de données informatiques et de vidéo sur un même câble métallique ou en fibre optique. Le RNIS est appelé, à terme, à remplacer le réseau téléphonique classique. Il offre différents niveaux de débits allant de 64 kbits/s à plus de 200 Mbits/s.

ROM : voir mémoire morte.

routeur : équipement dont le rôle est d’acheminer les paquets de données d’un réseau à un autre.

RVB (Rouge, Vert, Bleu) : couleurs primaires utilisées pour l’affichage sur un écran à tube cathodique et dont la combinaison produit toutes les autres couleurs. Un moniteur RVB est un moniteur couleur (par opposition à monochrome).

SCSI (Small Computer System Interface) : interface standard de communication entre un ordinateur et différents types de périphériques (disques durs, lecteurs de CD-ROM, scanners, imprimantes, par exemple). Une chaîne SCSI peut comporter jusqu’à sept périphériques gérés par le même contrôleur. La norme Fast SCSI offre un débit maximal de 10 Mo/s, soit le double de la norme SCSI d’origine. La norme Ultra/Wide SCSI permet quant à elle d’atteindre 40 Mo/s grâce à une connexion 16 bits.

SECAM (Séquentiel à Mémoire) : standard de télédiffusion en usage en France et dans différents pays d’Europe de l’Est. Bien que SECAM ne soit pas compatible avec PAL et NTSC, la conversion d’un standard vidéo à l’autre est possible.

Sélecteur : partie du système Mac OS qui permet d’accéder à des imprimantes et à des serveurs reliés en réseau.

SGRAM (Synchronous Graphics RAM) : mémoire DRAM synchrone optimisée en vue d’une utilisation sur les cartes graphiques, notamment pour accélérer le rendu 3D ou la vidéo en temps réel.

SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) : protocole gérant le transfert du courrier électronique entre serveurs, généralement sur Ethernet. L’accès aux messages proprement dits s’effectue au moyen d’autres protocoles (POP ou IMAP, par exemple).

SNMP (Simple Network Management Protocol) : protocole Internet standard de gestion des nœuds sur un réseau IP.

sprite 3D : objet virtuel tridimensionnel servant à créer des présentations animées. QuickTime VR gère les sprites 3D.

SPX : protocole de réseau Novell utilisé en conjonction avec IPX.

SSFDC (Solid State Floppy Disk Card) : format d’une carte mémoire extractible destinée aux appareils photo numériques QuickTake.

suspension d’activité : mode dans lequel un ordinateur ou une imprimante reste en état d’attente, conservant le contenu de sa mémoire mais consommant très peu d’électricité. Ce mode permet de prolonger la durée de vie de la batterie des ordinateurs PowerBook. Certains ordinateurs Macintosh de bureau et certaines imprimantes Apple bénéficient également de ce mode.

S-vidéo : technique standard de transport des signaux vidéo par câble. Un câble S-vidéo comprend deux fils séparés pour les informations de luminance et de chrominance. Il en résulte une image de meilleure qualité car il n’est pas nécessaire de traiter le signal pour le rendre composite.

StrongARM : microprocesseur très performant et économe en énergie, utilisé dans les ordinateurs de poche.

Surround : technologie permettant de restituer un son réaliste, qui donne l’impression de provenir de toutes les directions et pas seulement des haut-parleurs.

SVGA (Super Video Graphics Array) : résolution standard des écrans d’ordinateur PC, correspondant à 800 x 600 pixels.

Système de présentation Apple : ensemble logiciel et matériel permettant d’afficher l’écran d’un ordinateur Mac OS sur l’écran d’un téléviseur (ou de le recopier sur bande vidéo) afin de diffuser des présentations reproduisant exactement les images créées sur l’ordinateur. Le kit comprend des logiciels, des câbles et un convertisseur vidéo.

système d’exploitation : logiciel qui prend en charge le fonctionnement de l’ordinateur et sur lequel s’appuient les applications. Mac OS est le système d’exploitation (ou logiciel système) des ordinateurs Macintosh et compatibles. C’est lui qui gère les fichiers et les applications, organise l’exécution des tâches et affiche le Finder.

Système TV/Radio FM Apple : ensemble logiciel et matériel permettant de recevoir les émissions de radio FM et de télévision -- séparément ou simultanément -- sur un ordinateur Mac OS. Le kit comprend des logiciels et une carte de réception TV et FM. Il requiert le Système Vidéo Apple.

Système Vidéo Apple : ensemble comprenant une carte vidéo et des logiciels vidéo, que l’utilisateur peut installer pour capturer des images fixes et pour connecter un magnétoscope, un caméscope, un lecteur de vidéodisque ou toute autre source vidéo à l’ordinateur au moyen d’un seul et même câble.

tableau de bord : sous Mac OS, utilitaire permettant de personnaliser différents réglages dans le logiciel système et les extensions. Par exemple, le tableau de bord Son permet de choisir le signal d’alerte et de régler le volume sonore. Les tableaux de bord se trouvent dans le sous-dossier Tableaux de bord du Dossier Système.

TCP/IP (Transmission Control Protocol over Internet Protocol) : ensemble de protocoles standard en usage sur les réseaux Ethernet et Internet. Bien que TCP et IP ne soient que deux de ces protocoles, situés techniquement sur des couches différentes, leur nom combiné sert à désigner l’ensemble, y compris Telnet, FTP, etc.

Telnet : protocole le plus employé, sur Internet, pour la connexion à un ordinateur multi-utilisateur distant. Ce protocole se superpose à TCP/IP. Telnet est également le nom du logiciel exploitant ce protocole et agissant comme émulateur de terminal lors de la connexion à l’ordinateur distant.

TFT (Thin Film Technology) : technologie mise en œuvre dans les écrans à cristaux liquides (LCD) à matrice active qui équipent notamment les ordinateurs portables haut de gamme. Chaque pixel de l’écran est commandé par un transistor ou une diode à film mince.

Si le concept a été inventé dès 1961 par la société américaine RCA, les premiers travaux de mise en application n’ont débuté que dans les années 70.

Les cristaux liquides TFT de silicium, lancés en 1979 et 1980, sont aujourd’hui à la base des écrans à matrice active. De fait de la non-linéarité de l’élément actif affecté à chaque pixel, il est possible de lui appliquer une tension suffisamment différenciée, même en présence de lignes de balayage très denses.

Toutefois, la fabrication de centaines de milliers de ces éléments pour un même écran ne va pas sans poser de problèmes et la méthode fondamentale élaborée en 1987 a encore cours aujourd’hui.

En 1988, Sharp a mis au point un écran TV couleur TFT de 14 pouces, préfigurant la réalisation d’écrans de télévision muraux et de grands écrans plats en couleur.

F. Reinitzer a découvert les cristaux liquides il y a plus d’un siècle (en 1888). Aujourd’hui, poussée par la demande des consommateurs et favorisée par l’avènement de nouvelles techniques et de nouveaux matériaux, la technologie des cristaux liquides a accompli des progrès gigantesques.

Cette technologie présente un potentiel considérable et est appelée à jouer un rôle déterminant.

Dans l’évolution des procédés des écrans LCD, la pression exercée par les besoins des applications a été considérable. Outre les ordinateurs portables et de poche, d’autres produits peuvent bénéficier des avantages incomparables des cristaux liquides (compacité, faible épaisseur, légèreté, consommation réduite), par exemple les téléviseurs à écran plat et/ou à grand écran, les viseurs d’appareils photo numériques, les navigateurs routiers, les consoles de jeux, etc.

C’est ainsi que les écrans LCD supplantent peu à peu les écrans cathodiques dans de nombreux secteurs, qui ne se limitent pas à l’informatique et à l’audiovisuel. Avec la convergence de la vidéo, de l’ordinateur et des télécommunications, ce type d’innovation répond à un besoin crucial.

La technologie TFT présente les avantages suivants :

Grâce à ces avancées technologiques, de nombreuses autres applications sont envisageables.

Token Ring : type de réseau local en anneau, dans lequel les postes font circuler un jeton (token) afin de communiquer des informations. Un poste conserve le jeton pendant qu’il envoie un message puis, une fois terminé, le transmet à un autre poste.

TokenTalk : logiciel permettant aux ordinateurs Macintosh d’exploiter le protocole AppleTalk sur un réseau Token Ring.

touche de fonction : sur le clavier d’un ordinateur, touche spéciale à laquelle chaque application peut attribuer une fonction donnée. Sur les claviers Apple, les touches de fonction forment la rangée supérieure du clavier et sont numérotées F1, F2, etc.

trackpad : pavé tactile qui, sur les ordinateurs PowerBook, permet de commander le pointeur par simple pression et déplacement du doigt.

TrueType : technologie de polices vectorielles conçue par Apple.

Ultra/Wide SCSI : voir SCSI.

unité centrale (UC) : boîtier principal d’un ordinateur, contenant la carte mère. Peut parfois désigner le processeur central (voir ce terme).

UNIX : système d’exploitation multitâche et multi-utilisateur, inventé en 1969. En raison de sa puissance et de sa souplesse, UNIX est très prisé des programmeurs, des ingénieurs et des scientifiques.

USB (Universal Serial Bus) : interface de communication série multiplate-forme, se caractérisant par un coût réduit, une compatibilité accrue et la possibilité de chaîner un grand nombre de périphériques (claviers, souris, imprimantes, appareils photo numériques, manettes de jeu, disques, etc.).

Les avantages d’USB sont les suivants :

Branchement "à chaud"
Les périphériques USB sont réellement Plug & Play car ils n’est pas nécessaire d’éteindre ni de faire redémarrer l’ordinateur pour les brancher ou les débrancher. Par exemple, pendant la rédaction d’un document, il est très facile de débrancher l’appareil photo numérique ayant servi à importer une image pour le remplacer par une imprimante, sans la moindre perte de temps.

Simplicité d’installation
Lors de la première utilisation d’un périphérique, il suffit de faire glisser l’icône de son gestionnaire dans le Dossier Système ou de lancer un simple programme d’installation. Lors des utilisations suivantes, le chargement du gestionnaire s’effectue dynamiquement lorsque le périphérique correspondant est détecté. Les systèmes Apple dotés de ports USB, tels que l’ordinateur iMac, disposent par ailleurs de gestionnaires préinstallés correspondant à certains périphériques, pour lesquels aucune installation n’est donc nécessaire.

Facilité de connexion
Une connexion USB ne requiert ni terminaison, ni adresse mémoire, ni numéro d’identification. Elle utilise un nouveau type de câble fin, simple, économique et facile à brancher. Il existe une seule catégorie de câble (USB A-B), comportant des connecteurs différents à chaque extrémité, de sorte qu’il est impossible de brancher le câble à l’envers.

Nombre de périphériques
USB admet jusqu’à 127 périphériques connectés simultanément par le biais de boîtiers d’interconnexion externes. Lorsque les ports USB de l’ordinateur sont déjà tous occupés, il suffit d’y brancher un concentrateur (sorte de multiprise comportant quatre ou sept ports), sur lequel viendront se greffer des périphériques et des concentrateurs supplémentaires.

Gain de rapidité
USB est plus rapide que les ports ADB et série équipant traditionnellement les ordinateurs Macintosh.

VBR MPEG: voir MPEG.

vectoriel : voir police vectorielle.

veille : voir suspension d’activité.

VGA (Video Graphics Array) : standard d’affichage sur PC, correspondant à une résolution de 640 x 480 pixels.

VideoCD : disque de format similaire à un CD audio ou à un CD-ROM et servant à stocker de la vidéo et du son, au moyen de la compression MPEG-1.

vidéoconférence, visioconférence : communication vocale et visuelle entre plusieurs interlocuteurs situés en des lieux distincts. Cela implique souvent une compression des images vidéo.

VRAM (Video Random Access Memory) : mémoire à accès très rapide, servant à stocker l’image affichée sur l’écran d’un ordinateur. La VRAM doit présenter une capacité suffisante pour coder les informations de couleur sur plusieurs bits par pixel. En outre, sa vitesse d’accès doit être suffisamment élevée pour qu’elle transmette les informations à l’écran selon la fréquence de rafraîchissement de ce dernier (généralement comprise entre 60 et 85 Hz). La VRAM peut être intégrée à la carte mère de l’ordinateur ou bien fournie sur une carte d’extension.

WAIS (Wide Area Information Servers) : système distribué de recherche de documents, permettant d’extraire des fichiers texte ou multimédia à l’aide de mots-clés. Le résultat de la recherche classe les documents en fonction du nombre d’occurrences des mots-clés spécifiés. Gopher et le Web sont d’autres exemples de systèmes de recherche d’informations.

WYSIWYG (What You See Is What You Get) : désigne la faculté, pour un logiciel de traitement de texte ou de mise en page, d’afficher un document à l’écran tel qu’il sera effectivement imprimé.

X Window : interface utilisateur graphique du système UNIX. MacX est une version de X Window pour Mac OS permettant d’exécuter des applications X sur Macintosh.

X.25 : protocole international standard de commutation de paquets, qui régit la transmission des données sur les réseaux publics.

Zip : modèle de disque dur extractible commercialisé par Iomega, de la taille d’une disquette 3,5 pouces mais d’une capacité de 100 Mo.

zoom vidéo : technologie permettant aux ordinateurs portables d’afficher de la vidéo en temps réel dans une fenêtre, par l’intermédiaire du connecteur PC Card. Le bus vidéo interne est court-circuité, ce qui accélère la cadence d’affichage des images. Il est ainsi possible de connecter une caméra numérique, un récepteur TV ou une carte de décompression MPEG matérielle à un ordinateur portable, par exemple certains modèles de PowerBook.