Médiatorial

Quand l'écriture ne suffit plus à exprimer la véracité du concret, de l'abstrait et du virtuel d'une époque,
un besoin se fait sentir de tenter de nouvelles expériences pour créer de nouvelles écritures.

Les nouvelles matières, les nouveaux matériaux, matériels, outils et instruments et les nouveaux environnements et cadres de vie
ne pouvaient que sonner l'arrivée des Nouvelles Technologies, technologies en perpétuelle évolution à l'instar de l'être humain.
Pour séparer la religion ancestrale du pouvoir de l'avenir qu'est la politique,
la laïcité s'est lancée dans un conflit matérialistes contre spirituels
puis concret contre abstrait, manuels contre intellectuels, modernisme contre post-modernisme
Un symptôme majeur d'une dialectique dualiste déjà binaire, tout ou rien, vrai ou faux, ami ou ennemi encore guerrière.
C'était ne pas compté sur une troisième dimension de l'être : le virtuel.
Une concaténation qui donne au binaire toute la richesse de sa combinatoire et de son codage.
Dès 1967 pour prendre le pouvoir, l'imaginaire donna toute la force, le sens et l'anima de son mot, de son discours et de toute sa vision,
en prônant la nécessité de l'humain dans une humanité où la Société par trop industrielle et robotisée,
à l'instar des sociétés coloniales qui pourraient rendre esclave la machine comme on croyait avoir réussi avec l'homme.
et cherchait à montrer que les états d'âme n'engendraient pas forcément de mauvais esprits.
La Société du Mental (Society of the Mind, Marvin Minsky) traduit comme la Société de l'Esprit
plantait une fois de plus le Vieux Continent incontinent.
Mais les pionniers de l'électrique, de l'électromécanique et de l'électronique,
puis du digital, du numérique et de l'informatique
firent redécouvrir le premier virtuel qu'est le virtuel mental, l'imaginaire,
source du progrès informatique par le virtuel numérique, réel, augmenté et simulé,
où tout icône ne peut se défaire de son icônicité et de son icodicité.
L'écriture ne manquait plus à sa parole en devenant conversationnelle puis interactive.
Sans quitter sa ligne, le mot se liait à d'autres lieux, d'autres temps, d'autres actions
qui lui rendaient bien, pour devenir hypermédia.
Sans quitter le livre, le mot changeait de médium, pour s'allier au son, à l'image, à l'animation, et devenir multimédia.
La subordination du maître-esclave de la robotisation se voulait démocratique, égalitaire, distribué en réseau.
La toile du peintre devenait la toile du Net, du World Wide Web.
Mettre de l'humain dans la machine, c'était prendre conscience de l'humain dans la Société.



Espace d'accueil des élèves, des collaborateurs et des coopérateurs

Espace de communication et de communicaction
des Trilogies de l'expression de l'Art Local-Total-Global (LTG Art) du Concret-Abstrait-Virtuel,
dans la Tétralogie Art Science Technologie et Philosophie
par le Design du Concept multimédia voire MultiMédiArt.

Cette Galerie MultiMédiArt est l'entrée du CREDACI
(Conception, Recherche, Étude en Design, Arts et Création Industrielle)
par le Design Formel de l'Informel, Design Thinking et Mental Design
assisté de l'intelligence artificielle, conscience artificielle, vie artificielle
et âme artificielle dans les Texturologies Quantiques.

Cette Galerie MultiMédiArt est l'entrée du PolyAgogic CyberSpace
(PACS, ou CyberAgogic CBA, ou Cyber Espace Poly-Agogique, CEPA)
des Univers Citées Virtuelles Interactives (UCVI),
réseau de réseaux texturés (EDISNetWork, European Digital Interactive Spaces Network)
constitué d'Amphithéâtres interactifs à immersion
pour l'apprentissage, la création et le spectacle de l'information
dans les espaces interactifs de connaissance,
par le Design du Concept multimédia.

Cette Galerie MultiMédiArt regroupe, structure et dynamise les archives,
les publications et éditions, les travaux, expériences et essais,
objets-sujets-projets de l'auteur, oeuvrier de sa vie
en hommage à ses maîtres du mystère
Iannis Xenakis, Nicolas Schöffer et Jean Dubuffet,
Gilles Deleuze, Derrida et Michel de Certeau pour le passé,
aux cancres et candides du présent,
et aux acteurs du future de la connaissance par le Web libre (Webilis liberatus).