Théorie générale des texturologies quantiques

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Après avoir défini la théorie des texturologies quantiques, il nous faut savoir pourquoi la théorie des texturologies quantiques associées aux textures prétopologiques peut être une théorie générale. Voire une théorie unique fondamentale comme la Théorie M de Edward Witten écrite dans le but d'unifier les différentes théories des supercordes déjà existantes et reliées entre elles par des dualités. À ce jour, seule la limite classique de cette théorie est connue. C'est la théorie de supergravité maximale à 11 dimensions. L'espace-cible de la théorie M a donc une dimension spatiale de plus que la dimension critique des différentes supercordes. Dans la théorie quantique des champs l'espace-cible correspond alors à l'espace-temps de notre univers.

Mais dans notre cas, c'est une théorie relationnelle indépendante de celle-ci qui converge vers celle-ci quand la prétopologie (non-transitivité relationnelle, existence de réseau) tend vers la topologie (transitivité totale, existence d'ordre et de classe) pour ne plus exister.
Sans doute serait-il intéressant d'établir des liens entre ces deux théories.
En tant que théorie relationnelle impliquant la théorie des ensembles discrets, elle peut être décrite comme une algèbre relationnelle inventée en 1970 par Edgar Frank Codd, dont les principes sont utilisés de nos jours par les SGBD pour la gestion des bases de données informatiques comme le SQL, DBase, etc.

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