CyberbaseENSC



LANCEMENT DU HUGE PARALLEL
QUANTUM COMPUTING

2017-2018

Après les mathématiques de nos Lumières "De Arte Combinatoria" (Leibniz, Pascal) aux nouvelles lumières "De Arte Trans-Combinatoria" (Patrick Saint-Jean, 1967) et PQRST (Pretopological Quantum Relational Systems Texturologies)
Passons à la Physique avec les nouvelles nanotechnologies optico-électroniques,
un modèle de vulgarisation du relationnel identité-diversité à l’échelle nano pour résoudre les problèmes humains de tous les jours
par
Patrick SAINT-JEAN (FRANCE)
http://patricksaint-jean.fr/, http://patrick.saintjean.free.fr
Ecole Normale Supérieure, Département Design, Sciences Humaine, Cachan,
 CREDACI (Centre de Recherche et d'Etude en Design Arts et Création Industrielle) UVI (Université Virtuelle Interactive) UCVI (Univers Cités Virtuelles Interactives)
Designer, Artiste et Ecrivain,
Pionier en Computer Sciences, Computer Arts, Computer Graphics (1972-)
Docteur Es-Sciences en Biologie (Génie Biologique et Médical, Université de Paris XIII) ,
Ingénieur Informatique-Electronique-Automatique



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Carri
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Prolégomènes

Si l'on peut considérer maintenant l'ordinateur composé d'une unité centrale (portable ou tour de bureau) formée de CPU (Central Processing Unit, ou processeur arithmétique et logique), RAM (mémoire à accès aléatoire) et GPU (carte graphique ou Graphic Processing Unit ou processeur graphique), comme un Standard pour l'usage personnel et professionnel, en local ou en réseau, les nouveaux systèmes d'information (Centres, Baies d'ordinateur, Tour à multiple CPU et cartes GPU, voire sur le même bus d'échange avec les RAM et programmation CUDA ou OPENCL) caractérisent le Higth Parallel Computing et Hight Parallel Perfonmance, traitant l'information en Data Base (structurées ou pas), en Cloud et Big Data.
Mais d'après les travaux de Patrick Saint-Jean (Trans-Combinatoire, 1967-68 ; Texture prétopologique, 1971-74 ; Processus prétopologique Markovien, 1973-76 ; Texurologies prétopologgiques, 1980-81 ; Texturologies quantiques prétopologiques, 1982-89),nous allons vers le Hight Parallel Quantum Computing puis le Huge
Parallel Quantum Computing par l'introduction de la Trans-combinatoire (Calcul en parallel non plus de 2 puissance n pour la Combinatoire, mais 3 puissance (n-1), plus un pour les Trans-combinatoires, puis à la vitesse de la lumière avec l'Optical Huge Parallel Quantum Computing avec les nanos processeurs 3D à guide d'ondes lumineuses pilotant les 3 spins des éléctrons et captant le résultat dans une strucure à micro-cavité de résonance et de raisonnance par l'IA le long des fonctions d'onde (densité de probabilités conditionnelles).

Introduction

Le Design et la Sculpture Numérique

Le Design autrefois, quand les frontières archaïques et sectaires séparaient les territoires disciplinaires, était appelé en français "esthétique industrielle" [Étienne Souriau (1990), Vocabulaire d’esthétique, PUF, Quadrige, 2004, p. 880 et suiv.].
Au départ de formations différentes (ingénieurs, architectes) des Beaux-Arts voués  aux métiers d'arts des compagnons, des artisans et des artistes, où pratiques et théories, outillages et instruments, démarches et méthodes, étaient différents car effectués individuellement ou en petit groupe pour des productions allant de l'unité à la petite série, le Design, très proche de la poïétique (processus de création), et plus près des manufactures d'Etat (Colbert XVIIe siècle) a engendré de nouvelles démarches propre à une esthétique particulière que les temps modernes (trop proche du colonialisme spéculatif et inhumain) ont su faire passer en exploit technologique, au sacrifice d'une grande partie de la population ouvrière, et au profit d'une minorité.
Ce qui lui a donné une connotation d'esthétique de la ligne sans la forme, de la forme sans l'environnement et le cadre de vie, relayant le Designer à un tireur de barre comparé à l'architecte.

Le contemporain des années cinquante aux soixante-dix, ont reconquis leurs dimensions humaines par l'introduction de l'ergonomie et d'une recherche de l'ouverture du marché au plus grand nombre, devenu consommateur, laissant aux minorités aisées l'art et l'artisanat de luxe, et mettant en péril l'art coutumier. C'est un progrès au départ qui devient vite une spéculation sur la qualité et l'uniformité, masquées par la publicité faisant naître un Design de l'emballage et de la communication au détriment du Design de produit consommé périssable (contraire à l'oeuvre qui traverse les siècles).

Il est à séparer de l'esthétique financière industrielle, où pratiquement la production des profits financiers, sous le prétexte du travail, est assurée par la spéculation sur la variabilité de la production locale dans l'offre et la demande du marché global de la mondialisation, et ce dans un contexte de crise permanente psycho-spatio-temporelle, permettant la spéculation financière aussi bien sur l'amassement du capital (fabriquer où c'est pas chère pour vendre au plus haut prix possible où le manque et la demande sont les plus grands), que sur les transitions de valeurs par rotation des flux financiers en situation de crise et d'assurance spéculative.

Dans le cadre des Arts Appliqués Plastiques et Impliqués, le design numérique, également appelé design d'interaction ou design interactif ou digital design pour exprimer la continuité entre les doigts de la main créatrice et le digit binaire de l'ordinateur interface concret-abstrait-virtuel entre l'être, la machine et son environnement, définit les structures et comportements de systèmes interactifs. La société de l'information et la communication numérique définissent une nouvelle industrie comme un nouvel art et de nouveaux paradigmes économiques qui ont un impact direct sur le rôle du designer. Dans ce contexte, la question de l'offre et de la conception des produits prend un rôle central (http://fr.wikipedia.org/wiki/Design_num%C3%A9rique).

La matière virtuelle et les matériaux numériques réunissent dans leurs différences tout objet-sujet-projet de Design du concret-abstrait-virtuel dans l'environnement et le cadre de vie local-total-global.

Le Design est maintenant devenu une esthétique de production démocratique, de production de masse adaptative avec depuis le nouveau siècle une dimension écologique et écosystémique, où théoriquement la qualité concrète-abstrait-virtuelle se doit d'être accessible au plus grand nombre, voire à tous, et durable, avec une reconquête industrielle par les nouvelles technologies et l'innovation.
Le Design a donc son devenir dans la production de l'interconnexion résuelle des compagnons en arts-artisanats-industries, assurant et garantissant la continuité (ou plutôt la proximité successive) de l'oeuvre unitaire, de l'oeuvre en série et de l'oeuvre démocratique de masse, accompagné du kit-it yourself, do-it yourself et live-it yourself, et où l'ouvrier devient l'oeuvrier de production aussi bien unitaire que multiple.

Le Design est une discipline créative ouverte qui consiste à concevoir des dispositifs destinés à des usagers grâce à un travail sur les formes, les couleurs et les propriétés sensories-motrices et socio-psycho-physiologiques qui rappelle celui de la création artistique et artisanale, et qui peut concerner aussi bien des formes spatiales (design d’espace), volumiques (design de produits, design industriel), textiles (design de mode, stylisme), graphiques (design graphique, graphisme) ou interactives (design interactif, design d’interaction, design numérique), et même les formes immatérielles comme les formes de vie (design scénographique) et les formes de la connaissance (Concept Design, Knowledge Design, Mental Design, Thinking Design), rendues possibles grâce aux technologies informatiques du Digital Design en matière d'observation, d'analyse, de traitement, de synthèse et de visualisation de l'information en base de données (voire temps réel) et en réseaux dynamiques. Dans ce cadre hors cadre, la sculpture numérique a alors toute son importance.

Et les matériaux sont des percept-concept-affects qu'il faut maîtriser pour en produire et partager toutes leurs qualités dans l'interactivité et l'intercréativité entre l'oeuvre et l'artiste, entre l'oeuvre et le consommacteur.

Ce travail sur les formes, proche de l’activité artistique et qui réunit en réseau les arts unipersonnels et collectifs, les artisanats et les industries, explique l’importance des considérations esthétiques dans le champ du design, mais ne doit pas masquer l’importance tout aussi grande des considérations fonctionnelles, techniques, juridiques, économiques, ergonomiques, sociales et politiques, voire philosophiques, qui sont au cœur du travail du designer, considéré comme l’un des grands métiers de la conception, avec ceux de l’architecte ou de l’ingénieur.

Traitant du concret, de l'abstrait et du virtuel, le rôle du design est de répondre à des besoins, de résoudre des problèmes, de proposer des solutions innovantes ou d’inventer de nouvelles possibilités dans le but d’améliorer la qualité de vie des êtres humains, dans toutes les sociétés et dans tous les pays en évolution démocratique (des sociétés dites évoluées industriellement aux sociétés évoluées artisanalement qui toutes les deux ont besoin d'un développement durable social et humain dans leur environnement écologique). La pluridisciplinarité se trouve par conséquent au coeur du travail du designer, comme une science plastique dont la culture s'interroge, s'interpelle et s'interactive aussi bien avec les arts, les techniques analogiques, digital et numériques, les sciences humaines ou les sciences de la nature, dans son domaine d'activité, qu'avec les autres cultures (sciences physique, mathématiques et informatique-électronique-automatique) qui sont aussi d'autres formes de pensée qui ont besoin de ces sciences plastiques pour évoluer.

Recherche et Développement

Partant d'une extension du 'Cogito Ergo Sum' (Je pense donc je suis) de Descartes : "Je suis perçu, en complément avec mon complémentaire, par rapport à l'ensemble dans lequel je suis perçu, donc j'existe", donne naissance à un modèle mathématique évolutif.
Expérimenté depuis les années 70 aux systèmes complexes et à la conception de modèles mathématiques et informatiques autour des trans-combinaisons, des textures prétopologiques, des texturologies prétopologiques et des texturologies quantiques prétopologiques, tant dans l'analyse, le traitement et la synthèse du signal, de l'image et de toute organisation systémique de l'information, et après une version MTiPSI en 1992, l'auteur conçoit le PolyAgogic CyberSpace (Université de Paris I : LIASA, ENSC : LTNIS, CREACI 1992-2005, CREDACI-UCVI 2006-2014), amphithéâtre interactif à immersion pour le spectacle et la se définit à travers le projet de la nouvelle version 2011 du moteur sémantique HPC (Hight Parallel Computing) de sa visualisation scientifique de la connaissance par le Design du Concept Multimédia normalisé au réseau Internet, permettant au K-J (Knowledge-jockay) de naviguer dans les espaces interactifs de connaissance, devenu des hyperespaces conceptuels galactiques en 3D. Ainsi après avoir frayer ses chemins déridaiens interactivement le long des rhizomes deuleuziens générés en temps réel dans un graphe dynamique 3D temps réel, auto-structurant par son moteur sémantique multi-paramétrique, le K-J peut systémiser toutes processus de connaissances thématiques pour écrire une partition événementielle multi-pistes des éléments de connaissance, et la présenter sous forme d'un spectacle, d'un cours ou d'une conférence, sur multi-écrans.

Que ce soient stockés, transférés, traités et diffusés, sous forme de bases de données, en flux ou en ligne, par Internet (global) voire Intranet (local), la problématique se caractérise par l'utilisation de collections ou grands ensembles d'informations multimédia :
- texte avec métatexte (html, xml, etc.),
- mesures, données contextuelles,
- images fixes, numériques ou numérisées, issus du réel, de la synthèse et de la composition,
- audiovisuels numériques issus du réel ou de la synthèse, composés de séquences d'image numérique et de surimpression de texte pour traduction,
- uniquement audio issus de musiques, sons, chants, paroles, radios,
pouvant être nommés, indexés, titrés et commentés, dont le nombre est fini mais suffisamment trop grand pour en connaître toute l'étendue en un instant et de pouvoir le prendre en considération dans un temps raisonnable.

Dans ses applications, le mathématicien se rapproche alors :
- du photographe et de l'opticien (espace, point de vue, champ de vision, plan image, focalisation, facteur d'échelle, éclairage, prise en compte de l'environnement, voire  interférence et holographie),
- de l'informaticien (moteur de recherche multi-critère, programmation par script et diagrammatique, trie sélectif, filtrage, classification, structuration, interactivité, instanciation, concurrence de tache, organisation, HPC, réseau et Cloud),
- du physicien (interactions fortes et faibles, champs de scalaires, de gradients et d'influence, quantique espace-temps)
- du digital designer spécialiste de la représentation, de l'exposition numérique (scénographie, scénarimage, scénario, PLM) dans le virtuel 2D et 3D fixe, animé et interactif qui prend en compte et considère l'universel comme l'ensemble des polyversels, des objets-sujets-projets communiquants interactivables dans un contexte relationnel local-total-global développant des synergies-synectiques-synesthésies.
- et du systémicien qui modélise le tout dans un système complexe dynamique multi-boucle, multi hiérarchique et temps réel.

En Design d'Espaces Mathématiques, le Designer à la fois mathématicien et non-mathématicien prend alors en considération que :

La représentation du triangle (de Pascal) dans la n-ème dimension correspondant à la Combinatoire (Leibnitz 1666, "Arte de Combinatoria") et donnant la Topologie classique est très utile mais ne suffit plus.
Les progrès avancent vite avec le Groupe Bourbaki, dont Samy Heilenberg, Elie Cartant, Pierre Cartier, etc. pour mieux définir les structures algébriques et la Topologie ainsi que la Théorie des Ensembles et la Théorie des Catégories.

Mais déjà cette complétude théorique (le tout individuel, le tout global, le tout partout, le tout uniforme d'une même logique) montre une incomplétude naturelle et Charles Ehresmann (mathématicien alsacien, né à Strasbourg le 19 avril 1905 et mort à Amiens le 22 septembre 1979), a compris le besoin de la notion de structure locale :



Et dès les années 60 le besoin de notion de quasi-topologie (CNRS), de pseudo-topologie (Choquet) et de prétopologie (Brissaud) apparaissent.

Mais on garde la notion d'identité, d'homogénéité, d'homologie (même logique pour tous) alors que la Nature est plus complexe et que la Topologie est un idéal, une utopie certes utile mais pas suffisante pour "voir" la Nature telle qu'elle est", hétérogène, hétérologique, hétéromorphique dans sa perception et sa mesure, même si elle fait partie d'un grand Tout fait de plein de choses interconnectées ... ou pas.

Et on doit lui adjoindre la représentation du carré dans la n-ième dimension correspondant à la Trans-Combinatoire (Patrick Saint-Jean, 1967, "Arte de Trans-Combinatoria") donnant la Texture Prétopologique puis par les probabilités, avancer vers les densités de probabilité et les fonctions d'onde du Quantique dont les formes sont obtenues par itérations successives donnant une évolution de probabilités conditionnelles ou par les processus stochastiques prétopologiques.

La richesse de la représentation par le triangle (combinatoire) de 2 à la puissance n pour n variétés, devient 3 à la puissance n-1 (plus un) pour la représentation par le cube (trans-combinatoire) qui décuple en effet dès que n est supérieure à 2 (qui ne représent que la binarisation, ou bipolarisation d'une dialectique extrémiste).

La Topologie générale a été surtout travaillée sur des ensembles et catégories d'ensembles fermés.
Alexandre Grothendieck a ouvert le champ mathématique aux ensembles et Catégories d'ouverts permettant la catégorie des graphes et morphismes de graphes ainsi que le topos des ensembles : la catégorie des ensembles et fonctions totales ainsi que les notions de Site et pré-faisseaux (catégorie équipée d'une (pré)-topologie de Grothendieck qui généralisent la notion d'espace topologique et de locale que l'on connait bien en traitement d'image).

La Topologie classique reste transive ou intransive alors que la prétopologie permet et s'arrête à la fermeture transitive et que les textures prétopologiques permettent la non-transitivité (le voisin de mon voisin n'est pas forcément mon voisin) entre la transitivité totale (le voisin de mon voisin est toujours mon voisin) et l'intransitivité (le voisin de mon voisin n'est jamais mon voisin).

La texture prétopologique fournie des méthodes axées sur la non transitivité des relations ainsi que sur l'hétérologie (donc le non-bijectif) par l'existence de localités ouvertes et de points de vue.

La topologie fournie des méthodes axées sur la transitivité des relations (classe d'équivalence et ordre) permettant des hiérarchisations et une optimisation réductioniste et rationaliste.

Dans la Nature tout ne peut être expliqué par la Topologie.

Les Russian headstocks (poupées russes : classes et ordre, Topologie) ne suffisent pas comme en physique avec les models topologique homologiques, homomorphiques transitifs, mais nous avons besoin de non-transitivité et d'hétérologie et de modèle de texture prétopologique avec une Théorie des Texturologies Quantiques Relationnelles Prétopologiques.

Ce qui donne ici, un jardin redessiné à Sceaux près de Paris, à la Le Nôtre pour l'anniversaire des 500 ans, sur un modèle topologique (classes et ordre)

Le Design montre la différence (et non la diversité) dans la forme, la situation et les rapports de domination ;
la platitude du sol (le gravier, le gazon, l'eau, le peuple) met en relief les grandeurs transcendantales des dirigeants (les arbres et arbustes, le chateau) ;
seul le jet d'eau sortant du bas pour s'éléver et se redistribuer donne une apparence de vie (mais tout élévation est rabrouée) ;
ordre, classe d'équivalence et transitivité sont assurés et reignent entre les plus hauts, les intermédiaires (le buis sans buisson)
traçant les lignes de fermeture des classes et du sol, dominés par le chateau ; la nature morte est exposée en toute saison.
Topologiquement en architecture d'un Tout : le Chateau, où les éléments forment un Tout réunis des éléménts séparés : les Jardins.

- La prétopologie fournie des méthodes axées sur la non-transitivité (mais pas l'intransitivité) permettant la mise en réseau dynamique, en texture assurant une multihiérachie, et en texturologie permettant une optimisation relationnelle adaptative.

Mais là, un jardin (avant la restauration à la Le Nôtre) dessiné par des paysagistes contemporains.

La diversité du vivant engendre une dynamique au gré de la poésie des saisons et la vie au sol est plus riche qu'au Chateau.

Cette vision et perception de la Nature paysagiste peut se généraliser et après Le théorème d'incomplétude de Gödel et le "théorème du sandwich au jambon" d'Hugo SteinHaus repris par Stephan Banach (1938), ... le "théorème de la soupe de légumes" (Patrick Saint-Jean, 2012) est en sorte une façon :
- de ne plus avoir peur des mélanges, des amalgames, des co-polymères et des dissonances,
- de considérer chaque chose non pas de façon nombriliste, égocentrique et narcissique de l'unité comme identité
- mais de considérer chaque chose dans sa diversité interconnectée de l'Etre à la fois singulier et diversifié dans son propre ensemble et dans l'ensemble des autres.

Le "théorème de la soupe de légumes" (Patrick Saint-Jean, 2012)
On remarque que la Topologie n'est en fait que caractérisée par 2 points (Coordonnées (1,0) et (1,1)
et qque la prétopologie s'exprime sur l'ensemble de la surface (1,RAdh) * (0, RInt).



où tout est question de dosage dans la relation et de cuisson (structuration fonctionnelle du persept-concept-affect)

D'après une cueillete sur Google Image




S'il peut exister une condition d'indépendance totale (topologie) qui structure les éléments en les isolant et les séparant (chaque légume est cuit indépendamment et placé dans des plats différents), généralement les éléments cuits ensembles ont des propriétés plus subtiles et variées qui en font une soupe (texture prétopologique), allant en bidirectionnel  d'un ensemble de paquets de fragments isolés à l'ensemble de légumes entiers isolés (agrégation), et d'un ensemble de légumes, plus ou moins fragmentés, au velouté de fragments très  fins  (dispersion), formant des mélanges très variés placés dans un même récipient.
Une troisième dimension est la quantité de fragment de légume pour chaque légume (dosage, densité).


La diversité des matières, des matériaux, outils, méthodes et démarches, environnements et cadre de vie,
concret-abstrait-virtuel, local-total-global, cantonance-transcendance-immanence, corps-esprit-âme, percept-concept-affect montre qu'il faut penser autrement. Si dans notre enfance des années 50 on nous apprenait à ne pas mélanger les choux et les carottes, les navets et les pommes de terre,  et que l'on ne se mélangeait pas entre "milieux socials" différents, notre générations comme celles actuelles et futures on choisit les mélanges plus riches, même si toutes les règles et les jeux de société sont à en prendre conscience pour évoluer en tenant compte des besoins, des goûts, senteurs et saveurs, des désirs et contraintes et des subtilités de composition (https://fr.pinterest.com/dsk34/soupes/?etslf=20170&eq=soupe).


 
Ainsi Le "théorème de la soupe de légumes" (PS-J, 2012),
 issu De Arte Trans-combinatoria (PS-J, 1967), des textures prétopologiques (PS-J, 1971)
et des texturologies quantiques prétopologiques relationnelles (PS-J, 1982),
est une façon de mixer l'Homologie et l'Hétérologie dans la Mixologie,
où l'Art du Mixologiste joue entre l'identé et la diversité pour installer un bouquet de senteurs, de gouts et de couleurs.
Reste au Mixologue le soin d'en exprimer toutes les variétés trans-combinatoires de la poïétique des caractères de chaque chose et de chaque être qui déguste à la façon d'Esope à Pierre Perret en passant par La Bruyère et La Fontaine.

Il aurait pu être question de salade de fruits, de salades composées où les sous-ensembles s'associent dans des structures complexes tant dans l'esthéique visuelle que du gout.
Et sur le plan humain, un groupe d'individus à comportement ou expression variées :


Ce poser les questions c'est bien ...... mais l'important c'est de le faire !



Vers un autre modèle évolutif plus contemporain gardant les traces du passé
La topologie augmentée par la prétopologie (ou hypertopologie) transitive et non-transitive permet le passage de l'un à l'autre en fonction de la complexité et de l'irréductibilité et le degré d'acceptation de la perte d'information. Notons que si le terme prétopologie a tout son sens comme étant pré-topologique dans le repère des espaces emboités : espace prétopologique T-1, T0 (espace topologique), T1, T2, T3, T4, T5 (espace métrique), il serait intéressant de voir si l'hypertopologie ne s'applique pas à tous les espaces Ti. Les espaces Ti n'étant pas que "emboîtés", l'ensemble des espaces constituent un espace de topologie augmentée ou hypertopologie.

Les Structures Topologiques classiques et augmentées par la Théorie des Catégories et des Précatégories


- Les textures prétopologiques permettent un assemblage d'éléments différenciés en relations non transitives.
- Les texturologies prétopologiques permettent l'évolution vers des états stables multihiérarchiques.
- Les texturologies quantiques prétopologiques permettent la structuration dynamiques d'une organisation complexe en considérant non pas seulement les cardinaux et les ratio prétopologiques (d'intérieur, d'adhérence etc.) mais les fonctions d'onde d'éléments répartis, tenant compte du module et de la phase des concepts dans leurs interrelations. Si le quantique d'Einstein permet une vaste vision du monde physique, embrassant dans un même regard le monde subatomique de l’infiniment petit, et celui de l'infiniment grand du système solaire, la voie lactée et les galaxies lointaines, et le cheminement des ondes électromagnétiques dans un espace-temps courbé en chaque point par la matière qui s’y trouve ... une vaste vision unificatrice, dans le langage d’un modèle mathématique, de l’ensemble des phénomènes physiques dans l’Univers.", il nous fallait un quantique à l'échelle humaine, celui de l'information des percepts-concepts-affects à partir des ensembles relationnels, des probabilités conditionnelles et de l'Intelligence Artificielle et des fonction d'onde, pour répondre à un devenir " car « le nombre » est apte à saisir la structure des agrégats « discontinus », ou « discrets » : les systèmes, souvent finis, formés d’ « éléments » ou « objets » pour ainsi dire isolés les uns par rapport aux autres, sans quelque principe de « passage continu » de l’un à l’autre. « La grandeur » par contre est la qualité par excellence, susceptible de « variation continue » ; par là, elle est apte à saisir les structures et phénomènes continus : les mouvements, espaces, « variétés » en tous genres, champs de force etc. Ainsi, l’arithmétique apparaît comme la science des structures discrètes, et l’analyse, comme la science des structures continues (Grothendieck 1988, Récoltes et Semailles, §2.10. La géométrie nouvelle — ou les épousailles du nombre et de la grandeur) ".
Ainsi sur la surface continue des fonctions d'onde en constante évolution structuro-fonctionnelle-relationnelle vont se distinguer des successions (probabilité condionnelle, fonction itérative d'un même opérateur) de points correspondant à chaque élément singulier des sous-ensembles d'ensembles, point d'interaction avec une base de données statique moins symbolique et plus précise.

Rappel sur l'évolution des recherches
en Texture et texturologie prétopologique et en Texturologie quantique

Initié en 1967avec les trans-combinaisons les recherches de l'auteur vont de paire avec la découverte des Musiques Formelles de Iannis Xenakis comme recherche de nouvelles écritures opérationnelles, de la Cybernétique de Nicolas Schöffer comme espace interactif, et de la musique comme discipline scientifique de Pierre Barbaud. L'expérience sociale de Mai 68 lui donne également une forte expérience de pensée. Dans un travail d'analyse des structures topologies par la théorie des catégories, l'auteur constate en 1971 l'existence de concept d'espaces pseudo, quasi et prétopologique, et développe dès 1973 ses propre modèles mathématiques (processus markoviens prétopologiques pour la simulation des réseaux à destruction partiel) et de textures prétopologiques en 1974 pour satisfaire des besoins de traitement du signal (musiques stochastiques, CNET-CEMAMU 1974-78) et d'imagerie bio-médical en microscopie quantitative (texture chromatiniène, analyse chromosomique, analyse cytologique, leucémie, CEA Département de Protection Nucléaire, docteur LE-GO, 1974-79).

1980's

Puis début des années 80, à l’Université Paris XIII, il continuera ses recherches et développements en imagerie numérique et en microscopie quantitative pour la culture cellulaire de gliales transformées (souche) et la Robotique de Laboratoire où il intègre son modèle mathématique et sa méthode d'analyse de texture prétopologique et de classification multiparamétrique multihiérarchique prétopologique, qui verra un aboutissement aux Sylvius Laboratories du Professeur Ploem à Leiden en Hollande.

  
1981 : http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/picture.php?/1463/category/159
1985 : http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/167

Une logique trans-combinatoire selon Patrick Saint-Jean qui inclus la non-transitivité.
Une prétopologie hétérogène non transitive (mélange de plus ou moins ouverts et fermés)
selon Patrick Saint-Jean qui s'adjoint à la Topologie classique (homogène fermé transitif), à la Prétopologie de Grothendieck (homogène ouvert transitif) et à la Prétopologie de Brissaud (homogène ouvert fermeture transitive).

Des dés non transitifs sont un ensemble de dés où, si un premier dé a plus de chances de donner un plus grand résultat qu'un deuxième et si celui-ci a plus de chance qu'un troisième, ce dernier peut tout de même avoir plus de chance de l'emporter sur le premier. En d'autres termes, la relation « a une plus grande probabilité de donner un plus grand nombre » n'y est pas transitive.

  
En Topologie la prétopologie se joue seulement dans les ensembles formés d'ouverts et de fermés dans la frontière transitive des ensembles homogènes, homologiques et homomorphiques, mais peut aussi se jouer dans les ensembles hétérogènes, hétérologiques, hétéromorphiques non-transitifs selon les degrés de voisinage (indiquant les fractures ou changements structuro-fonctionnel-relationnels. La Topologie peut donc jouer dans la préopologie non-transitive, où "homo" et "hétéro" sont dans une même Andro-Catégorie (le sujet ne traite pas de la sexualité des sujets mais de la situation des objets dans le contexte objet-sujet-projet.
  
Le  "Je suis perçu en comparaison avec mon complémentaire par rapport à l'ensemble dans lequel je suis perçu, donc j'existe" (Saint-Jean Patrick, 1971 : Notion de Topologie Générale. Rapport interne. Ecole Supérieure d'Informatique Electronique Automatique, Paris) rejoint Grothendieck dans :
" À vrai dire, ces innombrables questions, notions, énoncés dont je viens de parler, ne prennent pour moi un sens qu’à la lumière d’un tel « point de vue »vu pour mieux dire, ils en naissent spontanément, avec la force de l’évidence ; à la même façon qu’une lumière (même diffuse) qui surgit dans la nuit noire, semble faire naître du néant ces contours plus ou moins flous ou nets qu’elle nous révèle soudain. Sans cette lumière qui les unit dans un faisceau commun, les dix ou cent ou mille questions, notions, énoncés apparaîtraient comme un monceau hétéroclite et amorphe de « gadgets mentaux », isolés les uns des autreset non comme les parties d’un Tout qui, pour rester peut-être invisible, se dérobant encore dans les replis de la nuit, n’en est pas moins clairement pressenti.
[...] Et il arrive, parfois, qu’un faisceau de points de vue convergents sur un même et vaste paysage, par la vertu de cela en nous apte à saisir l’Un à travers le multiple, donne corps à une chose nouvelle ; à une chose qui dépasse chacune des perspectives partielles, de la même façon qu’un être vivant dépasse chacun de ses membres et de ses organes. Cette chose nouvelle, on peut l’appeler une vision. La vision unit les points de vue déjà connus qui l’incarnent, et elle nous en révèle d’autres jusque là ignorés, tout comme le point de vue fécond fait découvrir et appréhender comme partie d’un même Tout, une multiplicité de questions, de notions et d’énoncés nouveaux. " (Grothendieck 1988, Récoltes et Semailles, §2.6. Point de vue et vision).
Donc Grothendieck qui a bien vu, la nécessité de vision et de point de vue, ne va pas assez loin dans son modèle mathématique ou le local est toujours chapeauté par un Tout global qui tire profit du local, alors que ce Tout est celui de la diversité dans les interférences entre local et global et réciproquement pour former le local-total-global jamais totalitaire brisant les chaînes directes par de nombreux bouclages.
Là encore Grothendieck laisse ses faisceaux et préfaisceaux, et ses "sieves" se plonger dans l'homologie poussant le Carthésianisme au Descartisme idéologique et utopique (il est souvent question d'Idéal d'un ensemble) en obligeant la mise en dimension suplémentaire (orthogonale et indépendante du chacun chez soi) pour éviter le mélange, la mixité et la diversité-identitaire au profit d'un identitaire transcendantal où la raison ne résone plus.
C'est peut être ce que cherchaient les Grecs dans leur tétralogie en combinant (ou trans-combinant) aux trois tragédies un drame satyrique. Sans doute une question de "point de vue". En effet si la tragédie de la tragédie reste la tragédie et la satyre de la tragédie reste la satyre, la satyre de la satyre de la tragédie peut soit rester dans la satyre mais aussi revenir à la tragédie ou une autre tragédie.
     
Evolution vers la Fermeture Transitive et Evolution par cheminement parallèle Non-Transitif prétopologique assurant
la pensée complexe avec douceur (texturologie, persistance-transcendance-immanance, non transitivité, hétérologie, hétéromorphie, hétérogène)
dans un monde de brutes (ordre, classe d'équivalance, transitivité ou intransitivité,
homologie, homomorphie, homogène).

De la première représentation de l'espace-temps de Minkowsky qui donne l'espace-temps relativiste (-c.t.i, x, y, z)
on passe à la deuxième représentation qui devient un quaternion texturologique ( c.t,  i.x,  j.y,  k.z ) ;

où c.t (une durée) représente une quantité, le cardinal de l'intérieur d'un sous-ensemble, et ( i.x, j.y, k.z ) les sous-ensembles de semie-membrane intérieure, semie-membrane extérieure et d'extérieure.
Ensuite la racine carrée des valeurs de cardinal et la normalisation aux sous-ensembles contenant, sont utilisées pour obtenir une amplitude de distribution (rapports quantiques relatifs) et ainsi obtenir un modèle de fonctions d'onde qui libère de la nécessité de connaitre les cardinaux, généralement mal connus au départ.
Dans le cadre de la théorie généralisée des texturologies quantiques prétopologiques, l'espace-temps relativiste est alors transformé en une texture de quanta espace-temps formant des réseaux de réseaux d'éléments informationnels.
Le quaternion de Minkowsky pourrait être également un quaternion hyperbolique, ne respectant pas l'associativité, mais formant un quasigroupe - ensemble muni d'un loi de composition interne (un magma) pour laquelle (loi comme une multiplication), il est possible de diviser, à droite comme à gauche, le quotient à droite et le quotient à gauche étant uniques -. Ce quasigroupe fini est un carré latin.

Un chaos structuré de sous-ensembles m de niveau n, contenus dans des ensembles l de niveau n+1,
est alors un système de systèmes de quinternions :
{(√intm,n, i√smim,n, j√smem,n, k√extm,n,√intl,n+1)n,l,m}
le tout normalisé à chaque niveau pour faire apparaître les densités de probabilité et les fonctions d'onde texturologiques.

fonctions d'onde

et en donner une version HPC :
CGGGC
A toute texture de sous-ensembles, chaque intérieur peut être le sur-ensemble d'autres sous-ensembles.
A toute texture de sous-ensembles, le sur-ensemble peut être l'intérieur d'un sous-ensembles d'autres sur-ensembles.
Et les éléments des sur-ensembles comme des sous-ensembles peuvent s'impliquer à tous les niveaux de la structures (boucles).
Et les systèmes de sous-ensembles peuvent être bouclés quand des sur-ensembles ne sont pas les intérieurs de sous-ensembles d'un sur-ensemble
mais des intérieurs de ses propre sous-ensembles de même niveau ou de niveaux inférieurs.


Avec sa solution Hard matériel à partir de cartes NVidia
from NVLink Connecting Eight Tesla P100 Accelerators in a Hybrid Cube Mesh Topology
to a NVLink Connecting Sixtine Tesla P100 Accelerators in a Hybrid HyperCube Mesh PSJ-PreTopology

En raison d'une part des travaux appliqués en génie biologique et médical dès les années 70, et d'autre part la notion de texturologie qui sollicite des interactions avec échanges, la notion de frontière mathématique (ouverte ou fermée en topologie) est souvent remplacée par celle de membrane (interactivités avec échanges permanents), à ne pas confondre avec les "branes" de la théorie des cordes (même si les échanges membranaires peuvent vibrer).
Au concept d'espace-temps
(énergie de spin, énergie cinétique, énergie de rayonnement d'un univers à l'âge des ténèbres) s'adjoint ainsi un espace concept-relation (local-total-global où le concept est en fait le percept-concept-affect) ou ensemble-relation qu'il faut piloter paramétriquement afin de naviguer ou de survoler l'information conceptuel (zones structurées prétopologiquement) dans les espaces de connaissance interactifs, visualisables en immersion dans leur structures, leurs contenus et leurs déroulements explicatifs ou spectaculaires. Le concept de local-total-global prend donc toute sa signification. La texturologie locale des intérieurs des sous-ensembles est du type "rotation" (quaternion gauche de chaque sous-ensemble), une "énergie informationnelle de spin", plus complexe qu'en physique, donnant le sens contextuel et contexturel pragmatique. La texturologie totale est membranaire, les liens assurant une "énergie cinétique" structurant ("colision" des concepts fondamentaux et pragmatique). La texturologie globale des intérieurs des ensembles distribués en sous-ensembles est du type énergie informationnelle rayonnante  (émission de concepts fondamentaux) donnant le sens textuel et texturel polysémique d'un dictionnaire. Ainsi les "textons" (lemmes du lexique, phrase dans un paragraphe, paragraphe dans une page, page web dans un site ou ensemble de sites) se regroupent en "texturons" dans l'espace concept-relation. L'aspect quantique est également dans le fait que si les fonctions d'onde (lieux des probabilités conditionnelles associés aux densités de probabilité) sont continues, les éléments des ensembles discrets dont elles sont issues représentent bien des données ponctuelles faisant un saut quantique et logique dans les moteur d'intelligence artificielle (si "situation texturologique", alors action traitement-analyse-choix-représentation).

D'où une méthodologie diversifiée :

Un Design d'Espaces Mathématiques

Une logique hexagonale dont chaque triangle peut répondre à la combinatoire

       L'hexagone logique (également appelé hexagone d'opposition) met en évidence des connexions entre six types d'assertions qui sont reliées entre elles par leurs valeurs de vérité. C'est une extension du carré logique d'Aristote découverte de façon indépendante à la fois par Augustin Sesmat et par Robert Blanché qui consiste à introduire deux nouvelles connexions Y et U, Y étant la conjonction de I et O tandis que U est la disjonction de A et E.

  =======> L'hexagone logique peut être interprété comme un modèle de la logique modale telle que :
    A est interprété comme la nécessité
    E est interprété comme l'impossibilité
    I est interprété comme la possibilité
    O est interprété comme la non nécessité
    U est interprété comme la non contingence
    Y est interprété comme la contingence

et qui peut devenir un cube et rejoindre la trans-combinatoire.


Ce qui n'était pas évident à l'époque devient mieux compris et exprimable à l'heure actuelle.
     


Et tout simplement par les graphes partiels
  
  
Un graphe partiel est non topologique dans sa fonctionalité où certaines connexions sont de poids nul (puisque non connectées) le rende prétopologique et quand les chemins s'étendent dans la diversité, le non-transitif fait découvrir l'autre qui peut se raprocher plus proche dans sa diversité que dans son identité.

Et dès 82, au Laboratoire de Psychophysiologie de la perception (François Molnar) en Arts Plastiques et Sciences de l’Art de l’Université de Paris I, il montre par l’analyse de texture appliquée aux mouvements des yeux (processus markovien et textures prétopologiques) la possibilité d'identifier l'esthétique des oeuvres d'art comme il identifie les textures cellulaires ou tissulaires et leurs pathologies. Réalisation électronique d'un système d'analyse du mouvement des yeux (lunette infrarouge et amplis opérationnels asymétriques couplée à un oscillateur numérique Tecktronics et un ITT2020 (Type Apple II à 9 bits de visualisation au lieu de 8), puis réalisation d'un logiciel d'imagerie 2D et 3D sur le premier IBM 286 à 16 millions de couleurs qu'il construit à base de 3 cartes Matrox (2 à 512x512 plus une 1024x1024).
   psj055  
Analyse de texture prétopologique d'image dans l'espace Dispersion (rapport d'adhérence) - Agrégation (rapport d'intérieur)
Espace de représentation dans l'espace complexe de Texture Quantique prétopologique (rapports quantiques)
  psj054    psj053
Analyse de texturologie prétopologique par les processus markoviens prétopologiques
 psj051   psj052  
Analyse de texture prétopologique sur 256 paramètres et Classification multihiérarchique, multi-paramétrique.
Visualisation des champs d'isotexture prétopologique.
psj050   TPPSYPHI
Passage de l'analyse d'image cellulaire à l'image d'oeuvre d'art :
L'Homme d'Intérieur, l'Homme d'Adhérence et l'Homme de Texture (Texturemann).

Enfin en contact avec le berceau de la Prétopologie de Lyon, il finalisera sa thèse de docteur ès-science en Biologie du Développement (1989) à Paris XIII.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/picture.php?/1020/category/154

Les années 80 sont aussi l'arrivée du graphisme 3D (le pixel devient vecteur) et de la réalité virtuelle (immersion en 3D).

Passage de la peinture classique à la peinture numérique 2D puis 3D programmée et interactive.

De 1962 à 1992 la toile a changé
Recherche de fractals par bouclage vidéo-numérique sur Apple Mac II FX.

Patrick Saint-Jean entre en 1989 à l'Ecole Normale Supérieure de Cachan où il conçoit la première version du PolyAgogic CyberSpace (MTiPSi, 1992).

Il "finalisera" en 1989 sa théorie généralisée sur les texturologies quantiques prétopologiques pour "La systémique de l'organisation dans les espaces de texture prétopologique"
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/SysOrg89.html
Et se consacrera à l'avancement  de la reconnaissance du Digital Design et Design Numérique, ainsi que des Nouvelles Technologies numérique (TIC, NTIC,TICE) dans l'Enseignement et la Recherche institutionnels et associatives.

2000's
Plusieurs versions du PolyAgogic CyberSpace voient le jour avec l'arrivée de l'Internet (1994) et le développement des texturologies quantiques en intelligence artificielle.

De l'UPIC (exposé à la Cité de la Musique Paris-Pantin) au PolyAgogic CyberSpace exposé sur le Net :
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/UPICauPACS/UPICauPACS.html
Moteur d'inteligence artificielle et de texturologie prétopologique :
http://ru3.com/luc/tag/people/patrick-saint-jean-cybernetique-intelligence-artificielle.html

Les 7-ième Journées Prétopologic 2010 on permis de faire un tour d'horizon sur
"La prétopologie dans les texturologies quantiques et la topologie augmentée"
http://patrick.saintjean.free.fr/PretopologieTQTAPSJ.html

Vers une nouvelle version HPC du moteur sémantique du PolyAgogic CyberSpace

Reprenant les concepts des anciennes versions :
       
Design du concept et mesure de textures prétopologiques dans le plan complexe :
dans le scénario les concepts ne sont pas forcément linéaires comme dans une logique et dépendent de l'environnement conceptuel ;
ainsi dans la succession des concepts (cheminement de pensée) un concept peut se retrouver plus proche alors qu'il s'en éloignait linéairement.

  
Mesures de texturologique quantique prétopologique qui permettent de définir les fonctions d'onde (Rendu PovRay).

   
Classification multi-hiérarchique multi-paramétrique à partir de mesures de texture prétopologique (256).
Si le nombre d'images résultantes de la classification est 2 et est inversible, la classification est unique et topologique.
Si le nombre d'images résultantes de la classification est supérieur à 2, la structuration est une multiclassification multihierarchique multiparamétrique et prétopologique, et engendre un graphe.


Graphe 3D et moteur d'intelligence artificielle pour détecter des chemins optimum (en blanc) servant de piste agogique pour la partition multi-piste.
 
Moteur d'inférence dans les tableurs conceptuels multimédia et classification multi-hierarchique dans le Conceptier 3D.
Partition conceptuelle multimédia multi-piste pour trois écrans.

  
Graphe dynamique 3D interactif et partition multipiste.

   
FractoCell 2D, fractale prétopologique 3-ième degré, Patrick Saint-Jean, 1994  
En 1996 un journaliste (Pascal Teracol) de Pixel magazine (N°29) annoncera et montrera des travaux de Bio-Art de Patrick Saint-Jean,
notamment réalisés à partir de la conception, la modélisation et la programmation de fractales et Julia Set du troisième ordre
issu de son modèle mathématique de textures prétopologiques.

Il n'y a pas qu'une esthétique dans la vie ni dans la Nature

est une esthétique d'un autre monde qui évolue.


FractoCell 3D - Quaternion Unitaire et Texturologie Quantique, Patrick Saint-Jean, © 2009-2011. Réalisée avec Wolfram Mathématica
Matérialisation de l'écriture abstraite (équations de systèmes quinternioniques) par :


     
- la visualisation de la structure virtuelle interactive sur écran 2D,


- la concrétisation d'un objet par impression 3D (poudre Z-Corps-CNAM, ABS RedRap AM) représentant l'enveloppe de la structure virtuelle,

  FractoCell3D
- la visualisation de la structure virtuelle par gravure laser dans un bloc de cristal (SKY Design).

Impression 3D sur machine Volumic Stream 30.
- la Fabrication additive par impression 3D d'un écoché de Quanta Texturologique montrant la complexité des relations et la beauté des galbes feuilletés.
- la réalisation de l'Hypercube Quantique fait du quanta et de ses 4 écorchés avec son cube central rempli d'imaginaire 4D (2016).

Une nouvelle version HPC est élaborée par transformation du logiciel NBody d'Apple, pour visualiser des éléments du web (images jpg) à la place des étoiles, et intégrer les algorithmes de traitements, d'analyse et de classification multihiérarchique prétopologiques.

http://developer.apple.com/library/mac/#samplecode/opencl_nbody_simulation_example/Introduction/Intro.html
http://www.usm.uni-muenchen.de/people/puls/lessons/numpraktnew/nbody/nbody_manual.pdf
http://www.cs.cmu.edu/~scandal/alg/nbody.html
http://en.wikipedia.org/wiki/N-body_simulation

La réalisation HPC (high parallel computing) sur Mac Pro 12 cores et 2 cartes graphics Nvidia, 512 processeurs, permet la construction, la visualisation, le suivi, le contrôle, la manipulation interactive et la structuration automatique par moteur de texturologies quantiques prétopologiques, d'un graphe sémantique dynamique multimédia, temps réel de plus de 32000 concepts, à  près de 140 Gigaflops/s et peut être étendu sur les Networks de type Cloud avec HPC.

Galaxie Ars Mathématica

 
Visualisation d'une base de données multimédia en grand nombre (8192).
Agrégativité forte, Dispersivité faible, Singularité faible, Altérité forte, Extériorité très faible.
Agrégativité moyenne, Dispersivité faible, Singularité forte, Altérité moyenne, Extériorité faible.


 

  
Autostructuration de l'espace des concepts :
Agrégativité forte, Dispersivité faible, Singularité forte, Altérité moyenne, Extériorité faible.
Agrégativité mouenne, Dispersivité moyenne, Singularité moyenne, Altérité moyenne, Extériorité moyenne.


Galaxie Ars Mathématica dans la texture de sa diversité internationale.

Dans cette auto structuration de l'espace, d'après NBody Thorsten Naab (diffusé par Apple),
nous sommes dans le cadre de l'attraction liée à la gravité due aux masses et à la distance qui les sépare.
Le softening-parameter e simule la dispersion (développement de l'adhérence)
softening
Le damping-parameter a simule l'agrégation par atténuation (développement de l'intérieur).
damping

Mais ici se sont les forces physiques qui engendrent la texture prétopologique des masses différentes.
Il nous faudra le traduire en langage mathématique prétopologique pour mieux en appréhender les propriétés sémantiques.
Les pages web sont alors caractérisées par une collection d'éléments ayant une "masse" mi soumis à une "gravité" G qui génère une "force de gravitation" élémentaire proportionnelle à la distance extérieure entre éléments et inversement proportionnelle au cube d'une pré-distance extérieure liée au paramètre de ramollissement et dont le cardinal est la mesure de la "force d'attraction" globale de chaque élément. Chaque "masse" est proportionnelle à une "masse propre" mais dépend d'un paramètre d'étendue, de distance intérieure, le "rayon" r dont elle est proportionnelle du carré et inversement proportionnelle au carré d'une pré-distance intérieure lié au paramètre d'atténuation favorisant l'agrégation.
L'ensemble des couples (atténuation, ramollissement) définit une famille de prévoisinages caractérisant l'espace prétopologique.

Ainsi un système dynamique devient un matériaux conceptuel très puissant comme moteur sémantique ou moteur d'intelligence artificielle voire âmique, réagissant à l'environnement interactif directe ou par commandes opératives.
Cette réalisation est un hommage à Edouard Glissant, décédé en février 2011), Philosophe et poète de la Relation et de la Différence.
Mais également, en réflexion de la définition logico-mathématique de l'auteur, c'est aussi en hommage premier dès 1982 à Jean Dubuffet (1901-85) qui, associant à ses peintures les projections à d'autres moyens  pour obtenir des nappes finement ouvragées donnant "une impression de matière fourmillante, vivante et scintillante, évoquant toutes espèces de textures indéterminées voire des galaxies ou des nébuleuses", auxquelles il donna le nom de Texturologies pour les différencier des Topographies,  et se muer en Empreintes résillées dont l'idée tient à ceci que "les points  qui semblaient autant de piqûres, se mettent à remuer, à filer, à faire voir en dessous d'eux-mêmes tout un réseau". Tout comme Iannis Xenakis dans ses Musiques formelles, Jean Dubuffet s'interroge sur ses textures continues et informes, qui investissent uniment la surface comme un gaz occupe un volume évoquant un phénomène physique d'entropie, liée à la perception  relative de l'observateur d'un équilibre du désordre et de l'ordre. Et il en est de même quand, dans ses expériences musicales où il ressent "qu'il y entre en jeu mille choses subtiles, toutes liées entre elles il est vrai et difficiles à isoler, où participent le quantum de lustrage et les variations de textures", par rapport au quanta sonore de Xenakis comme un signal élémentaire de Gabor, et qui confirme ou converge avec les travaux de l'auteur sur la justification d'un modèle de texturologies quantiques prétopologiques, dans sa recherche de nouvelles écritures en contexte et contexture, depuis les années 60, où en Design le "kit-it yourself" (montez le vous-même) remplace le "do-it yourself" (faites le vous-même) et par contre coup provoquera la volonté d'un "live-it yourself" (vivez-le vous-même).
C'est un hommage également à Michel De Certeau, Voyeurs ou marcheurs, dans L'invention du quotidien,  qui se questionne, en citant Manhattan vu du 110e étage du World Trade Center,  sur « L'immense texturologie qu'on a sous les yeux est-elle autre chose qu'une représentation, un artefact optique ?  C'est l'analogue du fac-similé que produisent,  par une projection qui est une sorte de mise à distance,  l'aménageur de l'espace, l'urbaniste ou le cartographe.  La ville-panorama est un simulacre « théorique » (c'est-à-dire visuel),  en somme un tableau, qui a pour condition de possibilité un oubli et une méconnaissance des pratiques.  Le dieu voyeur que crée cette fiction et qui doit s'excepter de l'obscur entrelacs des conduites journalières et s'en faire l'étranger. »
et mettant ainsi en dialectique la texturologie qui lui serait topologique (relatif aux déformations de figures) et non topique (définisseur de lieu) selon donc une texturologie prétopologique de proximités successives liées à la texture dans son mouvement, en instaurant une diégèse, une narration, marche du guide qui passe à travers par transgression, regroupées par l'auteur comme une topologie augmentée dans une paradiégèse. "Là où la carte découpe, le récit traverse", mais où les narrateurs sont multiples, et où faire surfer sur le net (buzzer en créant la vague) devient une façon de "slamer" sur le net à plusieurs.

Ainsi le Web est la représentation de toutes les configurations possibles et inimaginable des sectes les plus structurées aux jungles sociales les plus soffistiquées.
Ainsi l'artiste, scientifique et l'ingénieur se mèle et se démèle, se mène et se démène, se chaîne et se déchaîne dans les afres de cette démocratie-médiocratie-voyoucratie dont il doit se donner et se construire les instruments, les outils utiles à sa prise de conscience et à son action pratique pour favoriser sa praxis et texturer sa pensée.

Ainsi le marcheur est prétopologique, alors que le voyeur est topologique. Et nous voyons l'importance d'introduire une relation non-transitive du terrain, du local, pour déconstruire la topologie du global, issue des relations transitives formant des classes d'ordre et d'équivalence propice à la fétéchisation, et réguler le local-global dans le total comme lieu de toutes les diversités vivantes, membrane assurant texture et texturologie dans la réunion des différences : un nouvel art total dans le local-total-global. En fait c'est la prétopologie qui est une véritable topologie naturelle, et la topologie qui est une pseudo-topologie artificielle et où la topologie augmentée serait une topologie synthétique associant la différence à l'identité. Là aussi le filtre propre dans la famille de filtres catégoriels a été inversé donnant au foncteur le rôle de miroir ou de camera obscura inversant les morphismes. Dans la topologie augmentée les démarches utilisent les deux points de vue permettant ainsi une classification multihierarchique engendrant un réseau de réseaux imbriqués et intriqués comme "réunion des différences dans une aura identitaire", éléments texturant prétopologiques associant la marche localitaire à la vision globalitaire afin de définir le total comme l'interférence entre le local et le global mettant en valeur l'optimum de la différence, des singularités dans l'altérité, respectant l'irréductible (les droit de l'homme, les droits de l'information, les droits de la Nature à exister dans sa diversité).

La collection de ses réflexions devrait se prêter à une expérimentation texturologique montrant tout l'intérêt de la texture prétopologique.

Pour l'auteur qui a reçu son éveille politique dans les années 60, sur le plan historique par la libération de la France (par les gaulistes et les résistants plus souvent communistes), sur le plan théorique par le cinquième plan gaulien de l'indépendance et de l'autodétermination, par le contre-plan rocardien de l'autogestion et sur le plan pratique par le retour en métropole dès 62 des coloniaux à la fois victimes et promoteurs OAS ainsi que par les événements de 67-68 par l'action de groupes et de mouvements cherchant à la fois l'unité et la diversité, l'expérience des trans-combinatoires et des texturologies prétopologiques lui donne les clés de l'évolution dans l'auto-inter-trans dépendance, l'auto-inter-trans gestion dans le travail (la culture et la vie) personnel-collaboratif-coopératif d'une systémique résuelle du local-total-global dans le concret-abstrait-virtuel, et en raison du multimédia analysé sémantiquement sur le web, dans une dynamique synergie-synectique-synesthésie.

Ainsi des phénomènes de groupe interactivant selon des propriétés de texture prétopologique autogénèrent un design de formes conceptuelles : dans l'univers galactique, les "étoiles" et "planettes" sont remplacées par des concepts exprimés par des pages web multimédia (image, texte, son, animation) dont la topologie ouvre sur la texture prétopologique par introduction de constantes variables épaississant les frontières et générant des lieux de textures - simulacre d'un monde du total ou du local-global, fait d'ordre et de classes qui se texture dans un réseau de réseaux de variabilités interactivant dans le local-total-global et instanciant des classes ouvertes et entremêlées et des ordres partiels cantonnant-transcendant-immanent, évolutifs, événementiels bouclés et interférentiels s'autostructurant dans les champs de scalaires, de gradients et d'influences des textures de textures - des contenus d'une part multimédia (prétraitement, analyse, traitement, synthèse du texte, de l'image, du signal audio sonore-parole-musique et de l'animation) pour être mis en fonction d'onde de texturologie quantique prétopologique, et d'autre part sémantique et sémiologique.
L'intérêt est d'y introduire des texturologies prétopologiques engendrées par les relations spécifiques des contenus entre eux du niveau du mot, de la phrase, du paragraphe et la page jusqu'au site lui-même et une collection de sites ou de pages distribuées dans l'espace des connaissances.
La théorie généralisée des texturologies quantiques prétopologiques (
ou pré-théorie pour donner au marcheur de terrain une ascendance pragmatique sur le visionaire des hauteurs, "le dieu voyeur") peut s'assimiler à une théorie des graphes dynamiques ou les noeuds sont des particules élémentaires actives d'information, chaque noeud pouvant être lui-même un graphe dynamique. La gravité G est un paramètre sémantique représentant un champ d'importance des concepts initiés, et la masse M un paramètre sémantique représentant un champ d'influence définissant l'étendue de ces concepts liés. La forme obtenue donne alors la signature du concept focalisé.
L'utilisation d'un modèle physique cosmologique est déjà un exemple intéressant. Mais l'on voit que les paramètres prétopologiques (agrégation, dispersion, singularité-altérité mais aussi les ratios relatifs) sont plus subtiles que simplement la masse et la gravité, pouvant faire intervenir d'autres interactions ainsi qu'une Gestalt de l'information (champs de formes, champs d'influence, etc.) pour assurer sa texturologie quantique.




Mise en évidense d'une "Matière noire" relationnelle.

Et par filtrage d'un "Univers galactique".
Ainsi les i-Cloud sont déjà du passé (nuées dynamiques) et deviendront des i-Galaxie ou i-BigDataUnivers intégrant l'intelligence artificielle par les densités de probabilité, les fonctions itératives et probabilités conditionnelles dans les Texturologies Quantiques Relationnelles Prétopologiques Andromorphiques (homologiques et hétérologiques, homomorphiques et hétéromorphiques) dans les Andro-Catégories des ensembles relationnels.
Et pour cela il faudra inventer des laguages plus contemporain pour l'Internet.

Pretopological Texture Marqued Language et Pretopological Quantics Texturology Marqued Language

Pour ce faire les pages web incluent un PTML (Pretopological Texture Marqued Language) ou métalangage comme l'IEML de Pierre Levy, qui ne soit pas Topologique mais Prétopologique et Texturologique, pour assurer l’interopérabilité sémantique, dans un contexte de mondialisation du mental (pas seulement la mémoire mais le percept-concept-affect du Mental Design, et pas seulement l'esprit mais le mental de la Society of the Mind où l'âme des peuples à encore quelque chose à dire et à vivre), et ainsi  l'effort de gestion de la connaissance pour sa polyagogie, sa création et son spectacle (oeuvre, cours, conférences) dans des espaces d'immersion interactif.


Autres résultats

Des analyses de textures et texturologies sur des quantités importantes de données multimédias.
      
Dont les multiclassifications multihiérarchiques, multiparamétriques constituent les gènes des bases de données où les interactions auto et interactions structurantes permettent des parcours et chemins "galactiques" (scénario d'entre les mondes).
     

Conclusion et extension

Dans tout contenant, toute soupe de légume peut décrire sa diversité dans son identité dans la réunion des différences caractéristiques, par sa diversité du site, du lieu, de ses habitants, de ses origines, de son histoire et de sa culture qui font la richesse d'une société dans la identité/diversité/vivre-ensemble.
Par les texturologies quantiques prétopologiques non-transitives, la diversité n'est plus la différence mathématique à l'ancienne car elle ne peut ni se soustraire ni se diviser mais s'ajouter et se surajourter, s'associer et coopérer pour donner plus de combinatoires (2^n) par les trans-combinatoires (3^(n-1)+1).

L'implantation de Centres Régionaux HPC est nécessaire, utilisant des méthodes et démarches tant que des analyses, synthèses et expertises fondées plus sur les textures prétopologiques que celles topologiques faites d'identités de classes hiérarchisées.
Le i-Cloud stockage de données en nuage devient le i-Galaxie ou i-BigDataUnivers stockage interactif, intercréatif et intercréactif pour l'immersion dans la connaissance pour endiguer le sectarisme, l'obcurantisme volontaire et l'ignorance programmée des décideurs ainsi que pour lutter contre les robots propagandistes qui buzzent l'Internet.


  
 
De l'UPIC (Unité PolyAgogic Informatique du CEMAMu conçu par Patrick Saint-Jean pour Iannis Xenakis, 1976)
au PolyAgogic CyberSpace (1996).

Restant sur la paillasse du concret, à partir de la théorie sur les texturologies quantiques relationnelles prétopologiques, Patrick Saint-Jean se propose de réaliser des sculptures numériques en pilotant des têtes multicouleurs d'impression 3D avec mixage et mixité ainsi que les palettes Mosaic permettant de générer un filament d'imprimante 3D multicouleur synchronisé à la conception.

  


Pour l'auteur, parallèlement au travail collectif du développement des applications, est de faire avancer la recherche théorique et fondamentale ainsi que le modèle mathématique et informatique.
En effet, la modélisation par des quintavecteurs de forme complexes et des systèmes de quinternions auto et inter structurants, montre l'intérêt de construire, à côté de l'espace-temps d'Einstein (et des autres) dans la théorie de la relativité, un espace particulier de Minkowsky plus spécifique et généralisé modélisant la texturologie quantique prétopologique avec ses flux inter et intra-contreversés (flux multi-bidirectionnels asymétriques s'interactivant différemment dans le processus de texturologies).
Une extension possible peut se faire en physique en considérant, dans la théorie du rebond, autour du Big-bang, liée à la gravitation quantique à boucles de Martin Bojowald, que les grains, les quanta d'espace-temps sont différenciés et qu'ils forment des éléments de textures dans notre espace de texture prétopologique. Les systèmes de quinternions issus des quanternions de Minkowsky (hyperbolique ou non) peuvent alors décrire la texturologie des gravités quantiques définissant une texturologie prétopologique cosmologique (ou une nouvelle cosmogonie Daliesque dans une reconversion des coordonnées de la cosmogonie psychanalytique en coordonnées de la quatrième dimension, modulées par la relativité de l’interaction spatio-temporelle au sein de l’équation espace-temps texturologique). Il n'est pas dit alors qu'il existerait qu'un seul big-bang avec son rebond d'espace-temps en miroir mais bien des collections de big-bang (pas si big ni bang) en rebond asymétrique diversifiées, en permanente évolution texturologique et prétopologique non-transitive.

Le HPC permet une avancée importante dans la modélisation et la simulation de ses systèmes complexes et des processus y afférant. L'analyse sémantique peut alors jouer son rôle ainsi que la sémiotique et la sémiologie.
Ceci permet d'expliquer l'interaction des flux informationnels qui ne se somment pas comme les signaux physiques (le tout est plus que la somme des parties) et de décrire des phénomènes de buzz naturel ("commérages", "bruit de Cour ... et de basse cour", "bruit de chiotte", etc. tout come l'exercide d'une vrai démocratie manipulée) et de buzz structuré, organisé, construit, généré et entretenu ("marketing", "politique", "jeu"), souvent plus conséquentiel qu'une "holla" dans un stade, faisant intervenir la forme du contenu et la forme de l'expression, pour dégager l'expression démocratique collaborative, participative et coopérative des mouvements sociaux, dans leurs relations et liens différenciés avec les autres sur l'Internet (et autres bases de données) dans les textures et texturologies de leurs singularités et de leurs altérités.
C'est aussi une réflexion en Mental Design et Design Thinking dans le Digital Design, de recherche et de compréhension des mouvements de pensée associés aux flux de calcium dans la neuroglia et de l'interconnexion pré-synaptique-astrocyte-post-synaptique.

Mais qu'est-ce qui se cache derrière ces fonctions d'onde ...

Un nouveau scénario de science-fiction (que l'auteur aime bien racconter aux enfants ... et parents qui les accompagnent lors des événements internationaux d'Ars Mathématica d'Exposition-Conférence-Performance :
" L'Histoire commence dans une salle d'exposition ou un gamin se hisse sur le dos de son père (et le jeune étudiant sur le dos de ses paires) pour entrevoir au-dessus de son épaule une étrange vitrine (un espace imaginaire que la virtualité révèle) où, si les objets exposés sont là, concret avant tout pour montrer la beauté complexe des formes issues du relationnel du "Tous ensembles", le point de vue concre-abstrait-virtuel grandit l'espace du sens des sens : Et si l'objet global vue par le dessous était aussi parlant que les écorchés ; je m'y voyais déjà passant de mon écriture linéaire 1D, empilant les pages 2D pour créer un volume 3D ou le contenu 4D me transporterait dans un vaisceau spatio-temporel à la conquète du trou noir de mes univers galactiques informationnels ...

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Cette vision, cette forme, cette fonction d'onde, c'est celle d'une supernova avec son trou noir entouré d'énergie noire dite invisible mais qui est bien là car si le Fatou Set n'est que lui seul visible en Galaxie d'éléments cosmiques, le Julia Set représente les lieux d'énergie constante sur lesquels le vaisseau peut se poser et naviguer au compas de ce quanta texturologique pour réaliser des expériences spatio-temporelles relativistes et ... en revenir."
Si l'on considère cette fonction d'onde dans l'espace-temps, la galaxie qui nous est proche est le résultat d'une évolution partant d'un "big-bang" local lointain parmi d'autres.

Mais ce trou noir n'est-il pas celui de notre ignorance native qui va se transformer prodigieusement dans notre expérience de vie relationnelle dans la persistance d'un "Tous ensembles" largement immanent,  venant complémenter et texturer le "Un pour tous et tous pour un" historique un peu trop transcendantal ?

Alors faire "la Cuisine d'une Soupe de légume", c'est faire un contrat social et De l'Education, initialement pensé et écrit par Jean-Jacques Rousseau (Du Contrat Social ou Principes du droit politique présentant comment l’homme, passé de l’état de nature à l’état de société (présuppose un état de nature avec lequel il rompt, état préexistant à toute société organisée), peut instituer un ordre social au service de l'intérêt général, 1762, et reconnaissant les libertés individuelles restreintes mais rompant avec le naturalisme politique des philosophes classiques (platoniciens et aristotéliciens), et tournant décisif pour la modernité en affirmant le principe de souveraineté du peuple appuyé sur les notions de liberté, d'égalité, et de volonté générale (« L’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est la liberté. »), formant une grande partie des idées de la Révolution française, comme une continuation critique des Pensées de Pascal (si Pascal se place du point de vue de la force juste, Rousseau se place du point de vue de l’obéissance à la force, comme obligation ou comme contrainte), et repris et discuté par Kant, Fichte et Hegel, lesquels tenteront de réconcilier la liberté originaire et radicale de l'homme avec l'État et la reconnaissance sociale et évincer définitivement la "politique naturelle", mais garde un risque d'être une démocratie-totalitaire à la Rousseau (dénoncée par Jacob Talmon « penseur de la guerre froide », de son anti-marxisme et de sa vision du libéralisme proche de Karl Popper) suivant les tendances topologique et non prétopologique (contenant le topologique global), homologie et non hétérologie (contenant l'homologie locale), homomorphie et non hétéromorphie (contenant l'homomorphie locale), homogène et non hétérogène (contenant l'homogène local), ainsi que le transitif et non le non-transitif (contenant le transitif local). Si le numérique (HPC, simulation et i-Univers Big Data) peut être providentiel pour la démocratisation des produits (de qualité et non de dépotoire, de dégradation et d'ersatz) et des idées, sa participation à la réduction des faiblesses des démocraties représentatives avec scrutin majoritaire ou des démocraties directes à du scrutin proportionnel, par une démocratie coopérative profitant de l'expérience de tous et de chacun, associant le domaine d'intégration et d'étendue dans sa texturologie prétopologique non-transitive par saut (étape) quantique dans la continuité relationnelle des peuples de l'Etat gestionaire-régulateur-organisateur (et non-gouverneur).

Si contrairement à la pensée d'Einstein, le concept de Dieu joue aux dés (topologiques ou prétopologiques ? transitifs ou non-transitifs ?), serait-il non seulement celui d'un "Grand Architecte" mais aussi celui d'un "Grand Cuisinier" ?


Bibliographie

Publication papier et Internet des travaux de l'auteur :

- Saint-Jean Patrick, 1967 : Les Transcombinaisons et la quatrième dimention.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/169

- Saint-Jean Patrick, 1971 : Notion de Topologie Générale. Rapport interne.
Ecole Supérieure d'Informatique Electronique Automatique, Paris.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/161

- Saint-Jean Patrick, 1972 : Algèbre des structures. Rapport interne.
Ecole Supérieure d'Informatique Electronique Automatique, Paris.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/170

- Saint-Jean Patrick, 1977 : Système Informatique de Laboratoire Opérationnel pour la composition musicale et visuelle, UPIC, recherches musicales  de Patrick Saint-Jean au CEMAMu 1974-76, avec la coopération de Iannis Xenakis, puis Mémoire d'Ingénieur de l'ESIEA, 1977).

- Saint-Jean Patrick, Von Hagen V., Jean-Claude Bisconte, 1982 : A pretopological Theory applied to image analysis with a model for analysis of texture in digitalized images.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/159

- Saint-Jean Patrick, 1982 : Pourquoi prétopologie et non topologie, Université de Villeurbanne.
 http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/162

- Saint-Jean Patrick & all, 1982 : An automatic Device for cell cultures. La robotique de Laboratoire.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/165

- Saint-Jean Patrick, Von Hagen V., Koper G., Ploem J.S., 1985 : A pretopological texture model, a multiparametric image model and a hierarchical classification method for the analysis of digitized images. Pattern Recognition in Practice, E. GELSEMA and L. KANAL, Science Publishers B.V. North Holland, pp 102-112.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/167

- Saint-Jean Patrick, 1986 : Les sciences sensorielles de l'action créatrice, Polycopié CREATIVES APSA, Université de Paris I.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/163

- Saint-Jean Patrick, 1986-89 : Texture prétopologique et capteurs de virus, INSERM.
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/157

- Saint-Jean Patrick, Emptoz H., 1987 : Espace de texture prétopologique et modèles de tissus complexes. Congrès de Reconnaissance des formes et Intelligence Artificielle. AFCET, INRIA, pp 219-232.

- Saint-Jean Patrick, 1989 : Processus de production et d'expérimentation, biologiques et médicales, par l'analyse de texture prétopologique et la robotique de laboratoire, thèse de docteur es-sciences de l'Université de Paris-Nord (Paris XIII).
http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/154

- Saint-Jean Patrick, 1989 : Les espaces de texture prétopologique et la systémique de l'organisation.

http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/SysOrg89.html

- Saint-Jean Patrick, 1994 : Utilisation et enjeux de l'image numérique, Perspectives à court et moyen terme.
PERCEPTION 3D APTEP, CNAM, Paris 1994, organisé et édité par l'Association des Professeurs de Technologie de l'Enseignement Public.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/CNAM94.html

- Saint-Jean Patrick, 1997 : To a behavioural Design, an other perspective for the 3D perspective of image synthesis to be immerse in new virtual worlds and to settle in its proper live. ACM-Siggraph Education.
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- Saint-Jean Patrick, 1997 : The PolyAgogic CyberSpace Project. A multimedia system for texturing, networking, and practising knowledge. Edugraphics'97, Computer Graphics'97 Third International Conference on Graphics Education, Vilamoura, Algarve, Portugal. Edited by GRASP - Graphic Science Promotions & Publications. ISBN 972-8342-02-0.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/Edugraphics97.html

- Saint-Jean Patrick, 1998 : PolyAgogic CyberSpace VOLUNTAry Textured and Integrated System. Cyber Espace PolyAgogique comme système d'information volontairement texturé et intégré par le multimédia en réseau local et global pour l'enseignement par la création et la culture. Proposition au Programme européen ESPRIT.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/ProgESPRIT98.html

- Saint-Jean Patrick, 1999 : PROPOSALS of an European Digital Interactive Spaces Network EDISN. PROPOSAL NUMBER : IST - 1999 - 11373 25/5/99. The Fifth Framework Program focuses on Community activities in the field of research, technological development and demonstration (RTD) for the period 1998 to 2002. European Commission.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/EDISNETIST99.html

- Saint-Jean Patrick, 1999 : PolyAgogic CyberSpace IMAGINA Monaco 1999.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/IMAGINAMonaco99.html

- Saint-Jean Patrick, 2000 : Les Cyber-Espaces Polyagogiques et l'Univers Cités Virtuelles Interactives pour l'accès au patrimoine culturel et scientifique, l'éducation et la création artistique multimédia et audiovisuelle en réseau.  IMAGINA 2000.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/UCVIV2000.html

- Saint-Jean Patrick, 2000 : The PolyAgogic CyberSpaces and the Design of the multimedia concept for the networked cultural and scientific inheritance, education, multimedia and audiovisual artistic creation access. Proceeding, Laval Virtual, Virtual Reality International Conferences 2000, Laval the 18-21 May 2000.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/LavalVirtual2000/PSJLV2000.html
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/LavalVirtual2000/Conceptatrium.html

- Patrick Saint-Jean 2001 : « Univers, Cités Virtuelles Interactives (U.C.V.I.) : Le Design du Concept Multimédia en Cyber-Espace pour l'accès au patrimoine culturel et scientifique en réseau, la création multimédia, la polyagogie et le spectacle interactif de la connaissance », ASTI'2001, Sciences et Technologies de l'Information. A la Cité des Sciences et de l'Industrie, Paris La Villette.
http://acmsiggraphparispc.free.fr/P0/PRASTI2001.html

-  Patrick Saint-Jean 2003 : « Loin d'être hors contrôle, le concept de cybernétique se régule en France dans un domaine non centralisé mais distribué en réseau : Information, Systémique et Cybernétique ». Cybernetics in the Third Millennium (C3M) e-Zine archive (vol. 2.3, 2.5, March and May 2003).
http://www.well.com/~abs/Cyb/4.669211660910299067185320382047/c3m_0205.txt
http://paris.siggraph.org/CyberFR/CybernetiqueSommaire.html

-  Patrick Saint-Jean 2004 : Vers une texturologie quantique. Séminaire ESIEA.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/TQ2004/TQ.html

-  Patrick Saint-Jean 2005 : La Cybernétique, l'Art cybernétique et l'ère cyber. Festival du Jubilé de l'Art Cybernétique, Atelier Schöffer.
 http://acmsiggraphparispc.free.fr/SIGGRAPH2005/PSJCACEC.html

-  Patrick Saint-Jean 2005 : Le futur de l'intelligence artificielle. ASTI'2005,Clermond-Ferrand.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/FAI/PSJASTI05FAI.html

-  Patrick Saint-Jean 2006 : Prétopologie et texturologie quantique : Une aventure Texturologique Quantique pour une interactivité, intercréativité et intercréactivité humaines. 69 ème Rencontre du Groupe de travail Voir et produire des images d'art et de science, Université PARIS-SUD.
http://acmsiggraphparispc.free.fr/SIGGRAPH2006/TQ2006/TQ2006.html

-  Patrick Saint-Jean 2006 :  Le PolyAgogic CyberSpace et l'Intelligence Artificielle. En l'honneur du cinquantenaire de l'Intelligence artificielle.
Ministère de la Recherche, 1 rue Descartes, Paris.   http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/PACSIA/ProjetPACSIA.html

- Patrick Saint-Jean 2007 : Sculpture du concept et texturologie quantique. Intersculpt 2007, Ars Mathématica, ENSAM.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/InterSculpt2007/ConferencePSJIntersculpt2007.html
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/InterSculpt2007/PosterPSJIntersculpt2007.jpg

- Patrick Saint-Jean 2009 : Le projet du PolyAgogic CyberSpace : La sculpture de la connaissance par le Design du Concept multimédia.
Les Texturologies quantiques et la sculpture du quanta informationnel dans l'espace CyberAgogique pour l'apprentissage, la création et le spectacle de la connaissance. Intersculpt 2009, Fête de la Science 2009 en Lorraine, Ars Mathématica.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/InterSculpt2009/ConferencePSJIntersculpt2009.html

- Patrick Saint-Jean 2010 : De la prétopologie dans les texturologies quantiques et la topologie augmentée. 7-ième Journée de la Prétopologie Université de Versailles Saint-Quentin.
http://patrick.saintjean.free.fr/PretopologieTQTAPSJ.html

- Patrick Saint-Jean 2010 : Panorama, enjeux et provocations du Bio-Art. Overview, challenges and provocations of BioArt. Entre le Molécule-Art et le Body-Art : le Bio-Art. Fête de la Science 2010, Ars Mathématica, Cyberbase, Carrefour Numérique, Médiathèque, Bibliothèque, Cité des Sciences et de l'Industrie, Universcience.
http://patrick.saintjean.free.fr/FdSAMCBUniverscience2010/PEPduBioArtPSJAM2010.html
http://patrick.saintjean.free.fr/FdSAMCBUniverscience2010/PosterPSJFdSAMCSI2010.html

et la suite sur : http://patrick.saintjean.free.fr/ChoixBibliographiquePSJ.html

Autres bibliographies intéressantes et utiles :
-
ZT. Belmandt  2011 : Basics of pretopology, Hermann éditeur.
- Edouard Glissant 2010 : Philosophie de la relation, poésie en étendue, Gallimard éditeur.

- Marc Bui, Ivan Lavallée 2009 : Prétopologie et modélisation, Vol. 7.1, Hermann Editeurs des sciences et des arts.

- Robert Martin 2001 : Sémantique et automate, Ecriture électroniques, PUF éditeur.

- Claude Hagège 1996 : L'homme de paroles, Contribution linguistique aux sciences humaines, Le temps des sciences, Fayard éditeur.
- Robert Vallée 1995 : Cognition et Système,essai d'Epistémo-Praxéologie, l'Interdisciplinaire, Système(s) éditeur.

- Eveline Martin 1993 : Reconnaissance de contextes thématiques dans un corpus textuel. Elements de lexico-sémantique. Collection "Etudes de sémantique lexicale". CNRS INaLF-Nancy, Directeur : Robert Martin. Didier Erudition éditeur, Paris.

- Z. Belmandt 1993 : Manuel de prétopologie et ses applications, Interdisciplinarité et nouveaux outils, Hermes éditeur. - Haïm Nisenbaum 1989 : Texture hébraïque, L'Aire Libre Edition, Collection "Quintessence".
- Michel Thévoz 1986 : Duduffet, Skira Editeur.

- Michel de Certeau 1980 : L'invention du quotidien 1. arts de faire, Chapître VII Marche dans la ville, page 139-141, Gallimard Editeur (Nouvelle édition 1990 par Luce Giard). - Michel de Certeau 1969 : L'étranger ou l'union dans la différence, Du Seuil Editeur (Nouvelle édition 2005 par Luce Giard).


- Pierre Schaeffer  et Guy Reibel :  Traité des objets musicaux, Edition du Seuil 1967 :
- Nicolas Schöffer avec sa cybernétique interréactive.
- Pierre Barbaud : La musique, discipline scientifique, 1968, Dunod éditeur : (qui renvoie à la musique dodécaphonique)
"S'adapter au monde moderne, conserver des possibilités suffisantes d'interventions, conprendre l'évolution des sciences et de leurs innombrables applications, être à jour, c'est à dire rester jeune, est-ce encore possible ? Oui, sous réserve d'accepter avec entousiasme l'idée d'une éducation permanente."
- Pierre Henri avec ses rock-électroniques.
- Abraham A. Moles (Art et Ordinateur, 1971 puis 1990. Blusson Editeur) montre qu'il s'agit de l'Art et les machines à manipuler l'information, et constate en 1990 : "Largement vulgarisée par les média, l'image dite de synthèse a permis d'attirer l'attention du public sur les rapports entre l'art et l'ordinateur. Autrefois considérée comme concurrentes ou étrangères au processus créatif, les machines participent aujourd'hui pleinement à la production des oeuvres."
- Nicolas Négroponte : L'Homme numérique, 1995.
"La simulation et la Réalité virtuelle (Visiocasque de Sutherland 1968)."
"Le doigt est la candidat surprise pour la pilotage graphique."
- Pierre Levy : Qu'est-ce que le virtuel ?, 1998.
"Il s'insurge contre l'idée que le virtuel serait le contraire du réel. Il le dit capable d'abolir l'espace et le temps."
- Dominique Chateau : Théorie de l'iconicité, 1997.
Pareil jeu entre rêve et réalité, tel que la réalité produit ce rêve et que le rêve simule la réalité, discerne très précisément le champ de l'iconicité."
Citant Charles S. Peirce sur la théorie de l'iconicité, pour lui, "ainsi dénudée et en même temps enrichie, l'image ne contribue pas directement à expliquer l'art, mais il apparaît que l'iconicité qui la définit essentiellement est un premier pas vers l'oeuvre."
dans une analyse plus prétopologique que topologique, Patrick Saint-Jean y rajoutera une trilogie : icône-iconicité-icodicité.
- Philippe Quéau : La Planète des esprits, 2000.
"Comment la "réalité virtuelle" influe-t-elle sur nos façons de voir le monde, sur nos relations avec les autres, sur notre sens du "réel" ?
N'est-ce pas l'image même de l'homme qui se modifie, à mesure des évolutions technologiques ?"
- Edmond Couchot : L'art numérique, 2003.
En quoi l'art numérique est-il l'art de l'hybridation par excellence ?
- Yves Michaud : L'Art à l'état gazeux, 2003.
"Ce qui remplace l'oeuvre ? Des installation, des performances des expériences esthétiques où il ne reste plus qu'un gaz, un éther, une buée artistique. ... Il nous faut aussi comprendre cette nature gazeuse de l'art pour saisir le monde et la culture où désormais il se diffuse"