Projet "Texturologies quantiques"
dans les catégories d'espaces de "textures résuelles prétopologiques"

Vers une Topologie augmentée :
A un devoir de classe et d'ordre (Espace Séparé en Topologie),
un droit à la différence existentielle irréductible dans les relations en réseau
par les Espaces Différenciés Texturologiques Quantiques en Prétopologie
formant avec la Topologie une Topologie Augmentée

A partir des publications de Patrick Saint-Jean et des connaissances données par l'encyclopédie Wikipédia, le projet propose d'établir une théorie ayant pour sujet "les texturologies quantiques", et pour objet d'en définir et réaliser les applications dans les domaines de la pratique des trilogies "concret-abstrait-virtuel", "local-total-global", "objet-sujet-projet", "non réalisme-réalisme-trans réalisme", "multi-pluri-trans", "arts-sciences-technologies" s'incluant dans une tétralogie avec la philosophie en théorie, l'écosophie (environnemental, social, mental) et le Design en praxis, et la réalisation en pratique dans le cadre de Création et Nouvelles Technologies.

Le projet se propose de :
- Prendre pour titre :  "Théorie générale des texturologies quantiques", où le concept de théorie sera pris dans ses différents sens aussi bien mathématique (axiomes et théorèmes) - au risque du théorème d'incomplétude de Gödel -, que scientifique (principes de base et d'équations, permettant de produire des prévisions expérimentales) - au risque que cette théorie généralisée ne soit pas admise comme telle, car pour qu'une théorie soit considérée comme faisant partie des connaissances établies, il est habituellement nécessaire que celle-ci produise une expérience critique, c’est-à-dire un résultat expérimental qui n’était prédictible par aucune autre théorie établie -, et artistique (manifeste, démarche) à portée créatrice (Henri Bergson, Gilles Deleuze et Félix Guattari, Jacques Derrida, Edouard Glissant) et aussi Marvin Minsky, Douglas Hofstadter, Henri Laborit), poïétique (René Passeron) et esthétique voire philosophique et écosophique.
- d'y inclure les Espaces Différenciés Texturologiques en Prétopologie comme une Topologie Augmentée avec le passage entre Topologie et Topologie Augmentée caractérisant les Espaces Différenciés Texturologiques et les Différences Existentielles Irréductibles comme une Organisation Prétopologique Unifiée Systémique associée à la théorie des Catégories.
- D'assurer la normalisation à l'écriture de l'encyclopédie Wikipédia permettant les liens avec celle-ci (utiliser les pages avec liens localement et en réseau).
- Prendre en compte les travaux et publications de Patrick Saint-Jean depuis 1967.
- Prendre en compte les contextes sociologiques et historiques liés aux travaux de Patrick Saint-Jean pour témoigner comment la passion (soif de découvertes, d'expérience et de résultats) peut déjouer les difficultés de la vie d'étudiant puis d'enseignant-chercheur et ce dès les années 60.
- Prendre en compte les travaux du berceau lyonnais de la prétopologie qui maintenant se regroupe, s'organise et s'étend en France avec l'Association Prétopologics et dans le monde.
- Faire les liens avec les différentes disciplines impliquées et intriquées.
-
Plus spécifiquement, interactiver la dimension Pensée des sciences (ENS Ulm) avec Charles Alunni, ainsi que MaMuPhi (Mathématique Musique Philosophie, ENS Ulm-IRCAM-CNRS) notamment par rapport aux relations entre musique et topologie des faisceaux suivant François Nicolas, avec Franck Jedrzejewski, Pierre Lochak et Jean Bénabou , et MaMuX : Mathématique Musique de l'IRCAM avec Moreno Andreatta, où X peut être toute discipline (de l'X et autres) pratiques, théoriques et praxiques, comme la poésie, le théâtre, l'audio-visuel, et les arts électroniques informatiques et numériques.
- Plus spécifiquement, interactiver avec les mondes artistiques multimédia des Arts Mobiles Interactifs ("Lutteur de classe à la manière taoïste" de fred Wall°Ich, http://artitoo.free.fr/html/luttao.html ; Angle Mort Entreprise de Camille Cholin, http://djsenior.free.fr/ ).
- Plus spécifiquement, interactiver avec les mondes Voir et Produire des images d'Arts et Sciences de Damien Schoëvaërt-Brossault, Université Paris-Sud.
- Plus spécifiquement, interactiver avec les mondes d'Ars Mathématica de Christian Lavigne, http://www.arsmathematica.org/)
- Plus spécifiquement, interactiver avec les mondes d'INOLAM avec Jean-François Bonnet, http://www.inolam.fr/ ).
- Former une communauté résuelle de praticiens, de théoriciens et de praxisciens autour de la théorie.
- Chercher et faire participer un groupe d'investisseurs pour les applications avec informatisation des processus pour l'aide à la décision : observation, analyse, traitement, synthèse, visualisation, choix, action, organisation, structuration, super-calculateur, etc., selon la Théorie des texturologies quantiques.
- Intégrer les processus liés à la Théorie des texturologies quantiques dans le Mentalium (percept-concept-affect) du PolyAgogic CyberSpace (ou CyberAgogic) comme moteur de texturation du graphe dynamique 2D ou 3D dans la recherche de chemins (agogies) menant à une partition multimédia multi-pistes sous la direction de son K-J (Knowledge Jockay) ou C-J (Connaissance Jockey ou CyberAgogic Jockey).
- Créer une association-entreprise-laboratoire-atelier pour la recherche, le développement et les applications industrielles, économiques et sociales de la Théorie des texturologies quantiques.
- Élaborer une science-fiction reality-show mettant en scène cette théorie déclinée sous forme théâtrale, de film et de jeux.

Mise en place du projet : Théorie générale des texturologies quantiques

Historique des recherches

Les années 60 :
L'aventure commença en fait en 1967-68 dans une mise en scène de nombreux mouvements et expériences de pensée et d'action. Dans ce changement d'époque, le contemporain se veut dans la continuité créatrice et novatrice du modernisme mais avec l'envie d'aller plus loin tout en changeant d'époque, reflouant ainsi un mouvement de retour au classicisme disciplinaire et autoritaire né d'une volonté de reconstruire et de renaissance d'après guerre, par une volonté décolonisatrice, d'indépendance, d'autodétermination, d'autogestion, de liberté et de droit de l'Homme fondamentaux, mettant en avant des disciplines intégrant plus fortement la dimension humaine par les sciences humaines et les sciences de la vie (arts, philosophie, sociologie, chimie organique, biologie, nature), mettre de l'humain dans la machine et dans l'industrie (chaîne de production automatisée). Ce qui engendrait la nécessité d'une pluridisciplinarité et d'une trans-disciplinarité (l'urbanisme et l'architecture, la musique et l'architecture, mathématique et automatique musicale, les musiques concrètes, l'art optique et l'art cinétique, les musiques électroniques, électroacoustiques, électromagnétismes, informatiques et numériques, les arts scientifiques, les sciences de l'art, les arts plastiques,  l'esthétique et le Design qui évoluera lui vers une systémique de l'objet-sujet-projet dans son environnement et cadre de vie). 

C'est en pleine lecture d'un article de Sciences et Vie sur la représentation du triangle dans la n-nième dimension et du triangle de Pascal lié à la combinatoire, et dans une écoute musicale sur France Culture d'une émission de Georges Charbonnier sur les musiques contemporaines (Pierre Henri, Pierre Schaeffer, Iannis Xenakis, etc.) dans un contexte de recherche de nouvelles écritures en composition et en analyse de structures musicales faisant intervenir des combinatoires :
- en musique stochastique libre (ST10, Iannis Xenakis, 1962), pour des besoins de composition de poèmes stochastiques, 
- en musiques stochastiques markoviennes (Analogique B, Iannis Xenakis, 1959) liée à la théorie des événements en chaîne de Maurice Fréchet (1952), pour des besoins de composition théâtrale formelle (personnages stochastiques, sorte d'avatar évoluant dans des plages de vocabulaire différentes avec des intensités de voix et densités de vocabulaire pré calculées),
- en analyse de structure en temps (Nomos Alpha, Iannis Xenakis, 1966) représentée par le groupe des permutations du cube, 
que va naître dès 1967 les premiers éléments de cette théorie des texturologies quantiques à partir des trans-combinaisons, triangle d'élément de combinatoire entre les éléments des ensembles environnementaux, des éléments d'un ensemble observé, représentant également le carré dans le n-nième dimension, et surtout la réponse à la question en composition de la combinatoire hétérogène et la théorie des ensembles distribués (ou répartis).

Les années 70 :
Continuant sa recherche, comme l'analyse d'une pièce ("Chacun sa vérité" de Pirandello) sous forme de processus stochastique en 1970 - où l'alternance des témoignages de la vérité dans son altérité transforme les dialogues en un processus en constante perturbation convergeant sur des vérités singulières laissant ainsi un doute créateur dans toute sa complexité -, sa problématique des nouvelles écritures dans les textes et partitions vont évoluer vers celles des textures musicales à base de quanta sonores (1974), et visuelles à base d'images de microscopie-quantitative (1975), qui prennent une toute autre forme de conceptualisation par la résonance de recherches préalables sur les structures de la Topologie par la théorie des catégories, montrant l'existence de quasi, pseudo et prétopologies (1971), et la théorie des ensembles et les structures algébriques, montrant l'existence de triplet élémentaires capteur-fonction-effecteur (1972), pour définir la notion de "texture prétopologique" dans les années 70 en recherche à de nouvelles écritures dynamiques. Nicolas Schöffer apportait une réponse, dans son art total, dès 1948 avec le spatiodynamisme, c'est-à-dire, selon sa définition, « l'intégration constructive et dynamique de l'espace dans l'œuvre plastique »,puis la première sculpture multimédia interactive, dotée d'un système d'interaction temps réel avec capteurs, sculpture de 50 m de haut, sonorisée par une composition temps réel à partir de bandes magnétiques de Pierre Henry (1955), et la sculpture robotisée autonome de 1956 inventant ainsi l'art cybernétique qui permet l'établissement d'un « dialogue entre l'œuvre et son public' », entre l'œuvre et son environnement. Les nouvelles écritures passaient du conversationnel au semi-conversationnel et à l'interactivité et l'interréactivité.

Collaborateur de Iannis Xenakis,  Patrick Saint-Jean attaché de recherche CNRS au CNET d'Issy les Moulinaux (1974-78), conçoit pour le compte du CEMAMu (Centre de Mathématique et Automatique Musicale) en mini-informatique, un "système informatique de laboratoire opérationnel pour la composition musicale et visuelle" (SILOCoMuVi, 1975), que Xenakis, après lecture du projet, ... mettant ses petites lunettes et prenant son stylomine à pointe fine ..., le regarda d'un oeil en coin avec son sourire malin ou plutôt malicieux ... : "nous l'appellerons UPIC" (Unité PolyAgogique Informatique du CEMAMu, 1976), l'inscrivant sur le rapport donné au Ministère. Patrick Saint-Jean avait déjà conçu plusieurs SILO (SILOMed pour le médical et SILOAC pour l'analyse chromosomique).

Accepter un tel projet n'avait pas été si facile car à l'époque la mini-informatique était peu connue et l'on travaillait surtout dans des Centres de Calcul en apportant ses cartes perforées et récupérant des listings de résultats ou des bandes magnétiques de stockage utilisée sur Ampex pour commande numérique ou lu en continu sur le premier Convertisseur Numérique Analogique français (16 bits, haut débit, 96 db avec filtres, Lachaise, CNET, 1973). Et les projets au CEMAMu avant 1974 (projet Cuvelier,  Music V sur un PdP 10 de Digital Equipement Inc.) ne prévoyait pas autre chose. Les consoles avec light-pen (crayon optique de pointage) connectées à ces centres semblaient suffire sur des écrans à générateur  de caractères alpha-numérique. Les caractéristiques du SiloCoMuVi n'étaient pas seulement d'utiliser la mini-informatique accessible dans un petit laboratoire mais de transformer une table de pointage cartographique en une table à dessin haute résolution (4096 x 4096 équivalent donc à 16 écrans 1024 x 1024 actuels) pour dessiner, designer la micro, mezzo et macro composition sonore et visuelle en choisissant son action sur des menues d'options, de paramétrages et de fonctionnalités permettant en plus du dessin la possibilité du conversationnel et de commande de calcul et traitement automatique de l'information. Si le crayon graphique précéda la souris (ou le mulot), les menus déroulants n'étaient pas possibles, donc déroulés et fixes, mais le changement de menu par calque et désignation ou affectation dans une table de fonctions pouvait apporter une bonne ergonomie de création. C'était aussi de pouvoir écouter en temps réel des parties musicales directement sur un convertisseur à mémoire tampon intégré, couplé à une chaîne Hi-Fi, ou intégralement après stockage sur bande magnétique (dont il avait fallu doubler la vitesse de déroulement pour assurer la bande passante de 44 kHz au risque de faire fumer les freins contrôlant la lecture saccadée par blocs de données et le transfert). La visualisation sur écran de même résolution permettait des copies d'écran (architectures sonores et visuelles, commentées par des textes et chiffrements). C'était la partie traitement et de calcul qui était le point le plus faible car il fallait programmer en assembleur et avec une mentalité d'automaticien qui intégrerait les processus (stochastique topologique et prétopologique, probabilité, textures prétopologiques, machine séquentielle, système expert, intelligence artificielle, cybernétique et systémique) plus que de gestionnaire de fichiers à la manière de la CISI des années 70. Malgré tout, Iannis Xenakis fut toujours attentif aux propos de Patrick Saint-Jean et à l'intérêt du projet, allant même, quand ceux-ci étaient interrompus, à lever calmement la main pour dire "laisse parler le petit père". En présentant l'UPIC, Xenakis sera primé seul au Festival de Bonne en 1982 où il présenta l'UPIC à la place d'une oeuvre pour enfant qu'il n'avait pas pu terminer à temps.

Collaborateur du Département de protection au CEA (DPR, IPSN du CEN-FAR, 1974-1979) les textures prétopologiques trouveront des applications prometteuses pour l'analyse chromosomique : recherche de mitoses sur une plaque de microscope par l'analyse de texture chromatinienne des noyaux cellulaires, caryotype automatique qui nécessitera l'interactivité avec le projet SILOAC intégrant au système de mini-informatique un joy-stick puis une console formée d'un écran horizontale amovible muni d'un capteur x-y ultra-sonique avec crayon émetteur, puis l'arrivée du R-banding montrant une texture génique des chromosomes, mais également en analyse d'images cellulaires pathologiques (cancer, leucémie), et l'aide au diagnostique (SILOMed, 1973).  

Les années 80 : formaliser l'informel
Ainsi cette notion de texture prétopologique va se stabiliser dans les années 80 avec la notion de Texturologie quantique(1982) découlant de la modélisation de la texture prétopologique dans l'ensemble des nombres complexes avec des amplitudes de probabilité. De mêmes les processus markoviens prétopologiques du fait d'un besoin de texture dynamique donc texturologique dans un processus de création (Poïétique, René Passeron, 1989). Mais c'est également en hommage à Jean Dubuffet, suite à une visite à la Fondation Maeght, plongeant dans la matière et l’abstraction totale entre 1957 et 1960, en donnant à ses pièces une surface exceptionnellement texturisée dans son travail sur les Célébrations du Sol ou les Matériologies qui le relieront à l’art informel, et le quantique s'impliquant naturellement mathématiquement. C'est également un clin d'oeil à Gérard Duru de Lyon, berceau des prétopologies, où l'auteur fera des conférences sans jamais pouvoir le rencontrer, alors que l'auteur avait introduit en 1972 sa problématique sans connaître les détails et qu'il le considérait comme le générateur d'une étincelle créatrice de ses travaux de par même l'existence possible d'autre chose que la topologie (avec les quasi et pseudo topologies), pour répondre à ses problèmes de textures sonores et de texture d'image, et qui le poussera à développer son modèle spécifique puis à le généraliser. C'est aussi une réponse d'une part à Jean-Claude Simon (Paris 6) qui avait prévenu l'auteur dans les années 70 que le concept de Topologie passait mal dans la société française et que cela serait pire pour la prétopologie et qu'il vaudrait mieux donner un autre nom, et d'autre part à Simon Régnier (CNRS) en 1980 qui avait vu dans les textures prétopologiques de grandes possibilités, ainsi qu'à Sammy, Samuel Eilenberg, ayant connu le travail de l'auteur par l'intermédiaire de Victoria Von Hagen, qui pensait qu'il y avait matière à creuser et avait encourragé l'auteur à continuer. Mais le modèle de texture prétopologique mettra plus de 10 ans
(1972-1985) à être publié internationalement en raison des bagarres d'édition avec les spécialistes américains de textures topologiques et de l'arrivée de la théorie des ensembles flous de Zadeh promue par IEEE.

Collaborateur du Laboratoire de Microscopie Quantitative (Chargé de cours en DEA de l'Université de Paris VI et XIII, attaché CNRS, chargé de projet INSERM sur la robotique de laboratoire en culture cellulaire, 1981-86), puis du Silvius Laboratoria de Leiden en Hollande (1986-87), les textures prétopologiques de l'auteur trouveront également des applications prometteuses en culture cellulaire, en analyse de tissus cellulaire, et diagnostique de pathologies par classification multiparamétrique (20% de mieux que le diagnostique classique des cancers et leucémies, en faisant intervenir les textures de l'environnement cellulaire).

Suite à des désagréments sociologiques importants, la texturologie quantique explicitée en biologie et chimie macro-moléculaire par les capteurs de virus (1986-89) se dégraderont en concepts de bombes à fragmentation nucléosisaire (1996-1999) et de missiles biologiques (2001-2053), mis en scène sous forme d'une science-fiction reality-show, liant l'Internet à l'actualité.

Les années 90, la fin de siècle et de Millénaire :

Le Design du Concept multimédia avec Sipi puis MTiPSi et le PolyAgogic CyberSpace, le Design du concept multimédia dans les espaces interactifs de connaissance (le KJ, Knowledge Jokeying) intégrant les textures prétopologiques et les texturologies quantiques dans le cadre bases de données multimédia avec moteurs d'intelligence artificielle, systèmes experts, intelligence neuronale, intelligence âmique et âme artificielle, vie artificielle (concret-abstrait-virtuel). On passait ainsi du conversationnel au semi-conversationnel, de l'automatique au semi-automatique, de l'interactivité au semi-interactivité, de l'intelligence à la semi-intelligence, montrant l'indispensable interconnexion concrète, abstraite et virtuelle entre l'être humain et la machine cherchant d'une part à rendre plus humain la machine plus que de machiniser l'être humain, d'autre part à asservir la machine à l'être humain plus que le contraire et libérer les deux par l'ergonomie, laissant à l'intelligence humaine le soin de régler les conflits, les incertitudes, et les doutes.

Le nouveau Millénaire :


L'intégration (au sens PID des processus prétopologiques) dans les nouvelles écritures, d'une écriture multimédia ancestrale dans les années 2000 d'une part avec Texture hébraïque de Haïm Nisenbaum (reprise évoluée d'un texte de 1923), où la texture naît des écrits de Sion et de la parole de Jérusalem, et la notion de texturologies de Michel de Certeau citant et qualifiant les écrits de Karl Marx dans le Capital.

Ce qui était philosophiquement et politiquement, une oposition entre topologie (ordre et classe) et prétopologie (texture, réseau) dans les années 60 ou la prétopologie est une libération (droit à la différence, du presque parfait à l'imparfait relatif, de la dé-mesure à la non-mesure, design de l'objet dans son environnement et cadre de vie, du et en contexte) par rapport à la topologie (notion d'universalité, de parfait, et souvent d'image pieuse derrière qui on se cache, design de l'objet unique indépendant de l'environnement, du hors contexte), était devenu dans les années 70 une intercollaboration, la topologie étant inclut dans la prétopologie par réduction et élimination de propriétés non transitives permettant ainsi l'ordre et les classes et la superposition mais du fait éliminant la présence parallèle de la différence et de l'irréductibilité, puis devenu dans les années 80 une co-existence entre deux mondes, ou deux perception de deux mondes, qui cohabitent et agissent parallèlement, mais deviendra dans les années 90, avec l'arrivée des réseaux internet, une préparation d'une coopération entre les deux mondes (les deux perceptions, les deux interprétations du monde), où la non-connexité (new-edge) replacera la superposition (new-âge), pour résoudre les problématiques du nouveau millénaire où ordre et classe, réductionisme, infiniments petit et grand topologiques sont intégrés dans un processus de contrôle de texturologie quantique non pas seulement spatio-temporel mais réseau-relationnel qu'aurait pu exprimer Edouard Glissant le philosophe et poète de la relation et de la différence ; et ce, ainsi réparti à l'échelle humaine, selon les besoins immédiats et transitoires, pour assurer la co-existence coopérative des différences et des irréductibilités par l'inter-connexion et l'interactivité dans les trilogies "concret-abstrait-virtuel", "local-total-global", "objet-sujet-projet", "non réalisme-réalisme-trans réalisme", 'multi-poly-trans", "arts-sciences-technologies", "matière-énergie-information", "synergie-synectique-synesthésie".

Mais qui maintenant se texture plus facilement par la mise en évidence de l'intérêt de la composition des relations, où l'introduction d'une seule relation non transitive pour créer ou introduire la différence (et la proximité successive) dans un ensemble de relations transitives engendre une relation résultante non plus transitive mais non transitive localementpermettant aisi des textures et une texturologies dans son évolution. D'où la notion de topologie augmentée qui n'empêche pas la topologie d'exister quand c'est possible, par son équivalence et son ordre partiels, dans des mondes plus vastes plus différenciés et plus irréductibles, par leurs différences et leurs spécificités.

Publications de Patrick Saint-Jean concernant les Texturologies quantiques

- Saint-Jean Patrick, 1967 : Les Transcombinaisons et la quatrième dimention. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/169
- Saint-Jean Patrick, 1971 : Notion de Topologie Générale. Rapport interne. Ecole Supérieure d'Informatique Electronique Automatique, Paris. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/161

- Saint-Jean Patrick, 1972 : Algèbre des structures. Rapport interne. Ecole Supérieure d'Informatique Electronique Automatique, Paris. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/170
- Saint-Jean Patrick, 1974-79 : Cours d'Arts Plastiques et Sciences de l'Art : Composition formelle musicale et visuelle. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/172
-
Saint-Jean Patrick, 1975 : Composition musicale Crible Alpha. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/174
- Saint-Jean Patrick, 1976 : De la micro à la macro composition musicale sur Texas Instrument. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/175
- Saint-Jean Patrick, 1976 : Projet SILOAC, DPr, CEA, CEN-FAR. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/182
- Saint-Jean Patrick, 1977 : Système Informatique de Laboratoire Opérationnel pour la composition musicale et visuelle, UPIC. Mémoire d'Ingénieur de l'ESIEA.
- Saint-Jean Patrick, 1977 : Composition musicale MétaSpace. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/173
- Saint-Jean Patrick, Von Hagen V., Jean-Claude Bisconte, 1982 : A pretopological Theory applied to image analysis with a model for analysis of texture in digitalized images. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/159
- Saint-Jean Patrick, 1982 : Pourquoi  prétopologie et non topologie, Université de Villeurbanne. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/162
- Saint-Jean Patrick & all, 1982 : An automatic Device for cell cultures. La robotique de Laboratoire. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/165
- Saint-Jean Patrick, Von Hagen V., Koper G., Ploem J.S., 1985 : A pretopological texture model, a multiparametric image model and a hierarchical classification method for the analysis of digitized images. Pattern Recognition in Practice, E. GELSEMA and L. KANAL, Science Publishers B.V. North Holland, pp 102-112. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/167
- Saint-Jean Patrick, 1986 : Les sciences sensorielles de l'action créatrice, Polycopié CREATIVES APSA, Université de Paris I.  http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/163
- Saint-Jean Patrick, 1986-89 : Texture prétopologique et capteurs de virus, INSERM. http://patrick.saintjean.free.fr/phpwebgallery/index.php?/category/157
- Saint-Jean Patrick, Emptoz H., 1987 : Espace de texture prétopologique et modèles de tissus complexes. Congrès de Reconnaissance des formes et Intelligence Artificielle. AFCET, INRIA, pp 219-232.
- Saint-Jean Patrick, 1989 : Processus de production et d'expérimentation, biologiques et médicales, par l'analyse de texture prétopologique et la robotique de laboratoire, thèse de docteur es-sciences de l'Université de Paris-Nord.
- Saint-Jean Patrick, 1989 : Les espaces de texture prétopologique et la systémique de l'organisation. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/SysOrg89.html
- Saint-Jean Patrick at al., 1994 : Arts et Informatique, Arts Informatiques, Polycopié CNED, éditions Mars 94.
- Saint-Jean Patrick, 1994 : Utilisation et enjeux de l'image numérique, Perspectives à court et moyen terme. PERCEPTION 3D APTEP, CNAM, Paris 1994, organisé et édité par l'Association des Professeurs de Technologie de l'Enseignement Public. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/CNAM94.html

- Saint-Jean Patrick, 1997 : To a behavioural Design, an other perspective for the 3D perspective of image synthesis to be immerse in new virtual worlds and to settle in its proper live. ACM-Siggraph Education.
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/ComputGraph97.html
- Saint-Jean Patrick, 1997 : The PolyAgogic CyberSpace Project. A multimedia system for texturing, networking, and practising knowledge. Edugraphics'97, Computer Graphics'97 Third International Conference on Graphics Education, Vilamoura, Algarve, Portugal.
Edited by GRASP - Graphic Science Promotions & Publications. ISBN 972-8342-02-0. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/Edugraphics97.html
- Saint-Jean Patrick, 1998 : PolyAgogic CyberSpace VOLUNTAry Textured and Integrated System. Cyber Espace PolyAgogique comme système d'information volontairement texturé et intégré par le multimédia en réseau local et global pour l'enseignement par la création et la culture. Proposition au Programme européen ESPRIT. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/ProgESPRIT98.html
- Saint-Jean Patrick, 1999 : PROPOSALS of an European Digital Interactive Spaces Network EDISN. PROPOSAL NUMBER : IST - 1999 - 11373 25/5/99. The Fifth Framework Program focuses on Community activities in the field of research, technological development and demonstration (RTD) for the period 1998 to 2002. European Commission. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/EDISNETIST99.html
- Saint-Jean Patrick, 1999 : PolyAgogic CyberSpace IMAGINA Monaco 1999. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/IMAGINAMonaco99.html
- Saint-Jean Patrick, 2000 : Les Cyber-Espaces Polyagogiques et l'Univers Cités Virtuelles Interactives pour l'accès au patrimoine culturel et scientifique, l'éducation et la création artistique multimédia et audiovisuelle en réseau.  IMAGINA 2000.  http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/UCVIV2000.html- Saint-Jean Patrick, 2000 : The PolyAgogic CyberSpaces and the Design of the multimedia concept for the networked cultural and scientific inheritance, education, multimedia and audiovisual artistic creation access. Proceeding, Laval Virtual, Virtual Reality International Conferences 2000, Laval the 18-21 May 2000. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/LavalVirtual2000/PSJLV2000.html
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/LavalVirtual2000/Conceptatrium.html

- Histoire et état des Arts informatiques (Computer Arts)
par Patrick Saint-Jean, Paris ACM SIGGRAPH, 2000. http://paris.siggraph.org/SIGGRAPH2005/HEA2005/HistEtatArtInf.html
- Patrick Saint-Jean 2001 : « Univers, Cités Virtuelles Interactives (U.C.V.I.) : Le Design du Concept Multimédia en Cyber-Espace pour l'accès au patrimoine culturel et scientifique en réseau, la création multimédia, la polyagogie et le spectacle interactif de la connaissance», ASTI'2001, Sciences et Technologies de l'Information. A la Cité des Sciences et de l'Industrie, Paris La Villette. http://acmsiggraphparispc.free.fr/P0/PRASTI2001.html  
-  Patrick Saint-Jean 2003 : « Loin d'être hors contrôle, le concept de cybernétique se régule en France dans un domaine non centralisé mais distribué en réseau : Information, Systémique et Cybernétique ». Cybernetics in the Third Millennium (C3M) e-Zine archive (vol. 2.3, 2.5, March and May 2003).
http://www.well.com/~abs/Cyb/4.669211660910299067185320382047/c3m_0205.txt

http://paris.siggraph.org/CyberFR/CybernetiqueSommaire.html
-  Patrick Saint-Jean 2004 : Vers une texturologie quantique. Séminaire ESIEA. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/TQ2004/TQ.html
-  Patrick Saint-Jean 2005 : La Cybernétique, l'Art cybernétique et l'ère cyber. Festival du Jubilé de l'Art Cybernétique, Atelier Schöffer. http://acmsiggraphparispc.free.fr/SIGGRAPH2005/PSJCACEC.html
-  Patrick Saint-Jean 2005 : Le futur de l'intelligence artificielle. ASTI'2005, Clermond-Ferrand. http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/FAI/PSJASTI05FAI.html
-  Patrick Saint-Jean 2006 : Prétopologie et texturologie quantique : Une aventure Texturologique Quantique pour une interactivité, intercréativité et intercréactivité humaines. 69 ème Rencontre du Groupe de travailVoir et produire des images d'art et de science, Université PARIS-SUD. http://acmsiggraphparispc.free.fr/SIGGRAPH2006/TQ2006/TQ2006.html
 -  Patrick Saint-Jean 2006 :  Le PolyAgogic CyberSpace et l'Intelligence Artificielle. En l'honneur du cinquantenaire de l'Intelligence artificielle. Ministère de la Recherche, 1 rue Descartes, Paris.  http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/PACSIA/ProjetPACSIA.html
-  Patrick Saint-Jean 2007 : Sculpture du concept et texturologie quantique. Intersculpt 2007, Ars Mathématica, ENSAM.
 http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/InterSculpt2007/ConferencePSJIntersculpt2007.html
http://patrick.saintjean.free.fr/PACS/Bibliographie/InterSculpt2007/PosterPSJIntersculpt2007.jpg

Autres publications :
http://patrick.saintjean.free.fr/ChoixBibliographiquePSJ.html

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